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Critique de Gabylarvaire


Pénétrer lentement la petite porte horrifique, avant de sombrer dans la Terreur… C'est ce que parvient à faire Mike Carey dans son dernier roman.

Comme il m'avait dupé avec La Malédiction de Rowans, j'étais sur mes gardes. Où Carey voulait-il nous emmener ?

Au passage, on y croisera peut-être un trouble dissociatif de l'identité (très à la mode), ou peut-être un ami imaginaire (qui me donnera envie de relire Happy ! de Grant Morrison), ou peut-être un corps astral qui se fait un petit voyage (Insidious ?), ou peut-être des mondes parallèles qui se croisent (le multivers a son heure de gloire), ou peut-être un démon amérindien, ou peut-être le syndrome de Capgras (qui m'a fait penser au roman le Chant du Coucou de Hardingue), peut-être un serpent qui se mord la queue (Ouroboros et l'éternel retour), peut-être un renard avec une épée (tiens donc !), peut-être une maman dévouée et une maman moins dévouée, peut-être une adolescente zarbie ou peut-être pas, ou peut-être même le Chat de Schrödinger (il est vivant et mort en même temps ou il n'est ni vivant ni mort ?). Peut-être peut-être peut-être… Beaucoup de peut-être.
Alors si vous voulez réellement savoir de quoi il retourne, lisez-le…
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