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Alors...comment dire...je ne verrais plus les canards de la même façon..Même pas ! Que c'est étrange ! Drôle d'univers ! Pas le mien.
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Je garde un bon souvenir de cette lecture, qui peut perturber par la suite notre petite image habituelle des canards mangeant bêtement du pain, je la conseille à qui veut tenter l'aventure si étonnante et exceptionnelle ! Un bon roman détente à découvrir pendant cet été, à la plage, pour être sûr de pas ne pas croiser un seul canard, pour éviter absolument la crise d'hystérie, croyez-moi...
Lien : http://booksetboom.blogspot...
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Une histoire déjantée de canards psychopathes et carnassiers. Too much parfois dans le style et l'avalanche d'idées et de personnages, on s'y perd un peu, on n'a pas le temps d'accrocher complètement aux personnages dans la seconde partie.
Je ne vais pas résumer ce roman étant donné que ça a déjà été (très bien) fait dans les critiques précédentes. L'intrigue est très bien menée dans la première partie, Ginger, la jeune fille, fait "monter la sauce", on se demande si elle se sent persécutée ou si elle l'est vraiment... le canard balafré, le vieux gâteux, l'atmosphère ténébreuse, font carrément "flipper", mais dans la deuxième partie l'histoire vire au grand délire, Ginger n'a plus la parole (et pour cause !), le récit narré par une foule de personnages devient "fouillis", personnellement, je suis sorti du trip.
Mais certainement que ce "too much" est voulu, pour accentuer la sensation de grand n'importe quoi sanglant.
Une parodie des grands classiques frissonnants sur les zombies et autres bestioles peu enclines à laisser derrière elles leurs victimes entières.
Une bonne dose de rappel à l'ordre écologique sans en avoir l'air n'a pas été pour me déplaire.
Le style est ce qu'il est : langage parlé, pas piqué des hannetons ! (J'ai plutôt aimé, mais quelques personnages s'exprimant différemment auraient peut-être donné plus de texture à cette seconde partie pleine de relief grâce à des rebondissements trépidants et giclant l'hémoglobine à plein seaux, mais dénuée d'un véritable fond émotionnel)
A lire pour le voyage à la manière de Tarantino au pays des canards terroristes. A lire parce que malgré les quelques points vaseux évoqués ci-dessus, ce roman est déjanté à souhait et qu'aux éditions Sarbacane, le gros délire, c'est une marque de fabrique !
A noter : superbe couverture!
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Une américaine de 18 ans arrive dans un village complètement perdu d'Angleterre pour assister à un festival de musique. Arrivée avec deux semaines d'avance elle réussit à se faire embaucher dans un pub pour survivre et y noue quelques amitiés. Au bout de quelques jours des faits étranges à ses yeux surviennent dans ce village tandis-qu'elle a l'impression étrange et angoissante d'être surveillée par les canards. Les hommes et les femmes de leur côté ne sont pas en reste.
Vous l'aurez compris ce roman est totalement fou, délirant, loufoque et mélange avec beaucoup de talent un humour déjanté et des scènes sanglantes.
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Vous ne regarderez jamais plus les canards de la même façon, et vous apprendrez même à les craindre, à en avoir peur... vous trouverez qu'ils vous regardent bizarrement et vous fuirez les canards à cicatrices, si jamais vous en croisez un...

Et voilà ce qui ressort lorsque l'on sort de ce livre ahurissant... !

En lisant ce livre, je me demandais surtout "mais que s'est-il passé pour 'lauteur pour qu'il invente un truc comme ça ? c'est un passionné de canards, il a été traumatisé par des canards ?" alors je me suis renseigné sur celui-ci et j'ai appris que c'était un jeune de 19 ans qu avait juste déliré avec un ami lors d'un cours d'éducation civique sur le mot Anatidaephobia, et voilà qu'un livre est né !

L'histoire est rigolote, on a envie de savoir ce qu'il va arriver à notre jeune héroïne. Même s'il l'on ressent bien l'écriture d'un jeune écrivain, ça se lit bien et on passe un bon moment !
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Ginger débarque des states à Merrywaters, un petit village perdu dans la campagne britannique, réputé pour un festival de musique. D'ailleurs, la demoiselle à fort caractère vient à cette occasion, avec quinze jours d'avance. Elle se crée une opportunité d'emploi dans le pub local. Elle sympathise rapidement avec Eilenne, la fille du propriétaire, mais le frère de celle-ci ne paraît guère raffoler de l'Américaine.

Cette dernière se fait assommer aux abords du lieu du Nightfest dans la semaine qui suit son arrivée en Angleterre. Dès lors, elle a la désagréable sensation que les canards l'observent d'une étrange manière, avec colère et haine. Dans l'esprit de la jeune femme, ce sentiment se développe au point de se muer en psychose, et les évènements ne l'amènent pas forcément à penser différemment. Mais hallucine-t-elle ? Pour elle, les anatidés sont dangereux, malheureusement personne ne semble la croire. Qui détient la vérité ?

Je vous le dirais bien, mais le Grand Coin me couaquerait si je l'ouvrais. Donc couaquement et couac fermé.

Thomas Carreras nous propose un titre détonnant et d'une drôlerie imparable, le tout teinté d'inquiétude. Durant toute la première partie, la psychose de Ginger devient nôtre et par la suite l'angoisse quant à l'avenir des personnages nous obnubile.

L'auteur s'est amusé en insérant dans son roman des grandes stars de la musique, Nightfest oblige. Nous croiserons alors Stevie Wonder, Mike Jagger et même les Village People. Bon, il ne faut pas se mentir, ces vedettes sont complètement allumées, trop parfois.
Le premier quart se lit d'une traite et l'on se sent de plus en plus oppressé par la hantise grandissante de Ginger et ce qu'elle voit. J'ai apprécié l'amitié qui se façonne entre l'Américaine et Eilenne, une fanatique du fantastique qui dissocie ce qui se déroule dans les livres ou films de la réalité.

Concernant la deuxième partie, j'ai eu un peu plus de mal, juste au démarrage, le temps de reprendre son souffle. Cependant, une fois cet instant de flottement franchi, on ne lâche plus le bouquin qui vire au roman de zombies… enfin sans morts-vivants quand même… parce que bon, on le sait, les zombies n'existent pas.

J'ai passé un excellent moment, de par l'histoire et l'imagination débridée de l'auteur notamment avec son humour désopilant.

Soyons francs, la couverture attire irrémédiablement l'oeil, elle est flashy à souhait et ne donne pas tellement le ton sur le récit qu'elle renferme.
Lien : http://encoeurdeslivres.blog..
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: Malheureusement pour vous, mais surtout pour moi, je ne vais pas pouvoir vous dire grand-chose de l'histoire de "100000 canards par un doux soir d'orage" car je crains que votre lecture n'ait pas le même impacte que la mienne. Il est très clair que ce roman doit se lire sans avoir eu de vraies informations sur le contenu. Ca n'aurait pas le même effet. Les seules vérités que je vais pouvoir vous dévoiler sont exposées plus bas, alors je vous laisse découvrir.

En commençant ma lecture, je me disais que ce roman allait surement être drôle. Vous avez vu la couverture ? le titre ? Il ne m'en fallait pas plus pour être intriguée et de me jeter à corps perdu dans cette lecture complètement loufoque ! Ce livre est très certainement unique en son genre et c'est ce qui fait tout son charme et son addictivité, parce que oui, je n'ai mis que deux petits jours pour lire cet ovni.

"100000 canards par un doux soir d'orage" a donc été un coup de coeur pour moi et quelle surprise ! Au début, je ne comprenais pas vraiment où toute cette histoire allait bien pouvoir m'emmener et j'avais même du mal à me laisser porter, mais finalement, j'ai atterris à des milliers d'années-lumière de tout ce que j'avais bien pu imaginer. Et j'ai carrément accroché. J'ai adoré. Plus j'avançais et plus j'avais envie de comprendre.

Je ne sais pas où l'auteur a été chercher cette imagination (et je le soupçonne même d'avoir écrit ce livre sous l'emprise de substances illicites pour être honnête), mais c'est bien l'un des gros points positifs de ce roman. Certes, je ne pense pas que ce roman puisse plaire à tous, mais rien que pour l'expérience, il faut le lire !

Dans tout ce micmac d'imagination, j'ai bien aimé le côté "message subliminale". Je ne sais pas si c'était fait exprès ou si c'est juste un concours de circonstances, mais l'aspect écologique du livre est plutôt bien trouvé ou en tout cas sert très bien l'histoire.

Bien sûr, il faut bien un petit point négatif pour ce roman, sinon, c'est moins drôle : après votre lecture, vous risquez bien de ne plus jamais voir les canards de la même façon. Je crois que moi-même, si j'en croisais un demain, je changerai de trottoir...
Lien : http://monjardinpresquesecre..
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Le titre est plutôt vague, laisse la place au mystère. J'avoue que ça m'a intrigué dès le départ.

Ginger débarque à Merrywaters, et se trouve un boulot de façon pour le moins cavalière. C'est d'ailleurs assez déroutant dès le départ.

Elle compte assister au Nightfeste, festival réputé dont elle rêve depuis plusieurs années.
Au fil des pages, elle découvre le village et se rend compte qu'il est habité par beaucoup, beaucoup de canards. Volatiles qui semblent la fixer régulièrement d'une drôle de manière. Elle finit même par croire qu'ils la poursuivent.

L'atmosphère du début du livre est lourde, glauque, et mystèrieuse, digne du film Les oiseaux de Hitchcock. Je m'installe donc dans cette atmosphère, quand, au début du deuxième tiers, tout dérape!! de Hitchcock, je passe à Résident Evil, version canard!!

Je ne veux pas tout vous révéler, car après tout, il faut vous garder une partie de surprises. Mais pour ma part, de l'intrigue de départ, si plaisante, je me retrouve en plein cauchemar. La seconde partie du livre est beaucoup moins dans mon genre. L'hémoglobine à tout va, les descriptions poisseuses et sanguinolentes, tout y est pour ceux qui adorent les plans catastrophes.... catastrophiques.

En dehors de cela, j'ai trouvé qu'il y avait aussi quelques détails flous: un personnage qui s'enferme à clé dans sa chambre, se fait attaquer, et est sauvé par un membre de la maisonnée... entré par la porte... Pas très convaincant. Il y a quelques situations dans le genre, et ça m'a déçu.

Vous l'aurez compris, je ne suis pas emballée par ce livre. J'aurais préféré garder cette situation lourde mais intrigante du début du livre
Lien : http://au-fil-des-pages477.b..
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Thomas, c'est un peu le pote que t'as envie d'avoir quand tu fais une grosse soirée pizza rétroprojo pétard whisky pour te faire une compil de nanards et discuter philo de film de série Z. Sauf que comme on a jamais fait ça ensemble, il a réitéré le succès mérité de 50 Cents (le livre pas le chanteur) en écrivant son 2e roman, encore plus cinglé que le précédent.

Rendant hommage à la culture du genre (World War Z, Shaun of the Dead, Guide de survie en territoire zombie, Apocalypse Now, Une Nuit en Enfer et je m'arrête là pour vous laisser découvrir les autres clins d'oeil), tout en incluant des célébrités qu'on prend plaisir à voir se faire massacrer, 100 000 canards par un doux soir d'orage est un pur chef d'oeuvre, dément, psychédélique et riche en blagues aussi vaseuses que le slip d'Howard (le canard, cqfd).

Dans un bled paumé d'Angleterre (Merrywaters), un festival de musique se prépare. Malheureusement, le site sur lequel l'évènement se déroule tient aussi lieu de refuge de canards qui en ont vu des vertes et des pas mûres (massacrés par des renards, pluies acides dues à la pollution et qui vont nettement modifier les palmipèdes génétiquement...).

Une invasion de canards zombies ? si si c'est possible.

Mec, j'ai qu'une envie c'est qu'un jour Rob Zombie ou John Carpenter se mettent à lire un de tes bouquins pour pouvoir l'adapter après et si jamais ces deux gros cons font mine de rien, dès que je suis riche j'inonde les salles avec ces deux titres dignes d'un Grindhouse.

(vous allez me claquer à vous proposer des livres qui sortent l'année prochaine, mais j'ai le droit, parce que je suis libraire et que je peux lire plein de bouquins avant vous, krkrkr)
Lien : https://www.instagram.com/lo..
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Alors...Que dire de ce livre?
J'ai été très surprise par la tournure que prend le roman. Je ne m'attendais à rien de particulier mais certainement pas à ça😁.
Le début attise notre curiosité, on apprend à connaitre Ginger et les personnes qu'elle va côtoyer en attendant le début du festival. J'ai trouvé ça assez intéressant et drôle qu'elle se sente observée et suivie par des canards sauf que d'un coup l'histoire part littéralement en live. Les événements ne font que s'enchaîner et ne m'ont pas laissé une seule seconde de répit. Quand j'ai refermé le livre j'avais juste envie d'éclater de rire, j'étais sous le choc et quelques années après je le suis toujours autant. En bref ce livre est complètement déjanté. Si vous avez envie d'un peu (beaucoup) d'originalité, d'un bon délire et que vous n'avez pas peur du gore je vous conseille de le lire. Je pense que vous en ressortirez marqués d'une façon ou d'une autre.
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