Au lieu de craindre la Russie, il serait temps d'essayer de la comprendre, de comprendre que, tiraillée entre deux mondes, c'est tout de même à l'Europe que ce grand pays s'identifie et que c'est son destin qu'il entend continuer à partager ? À nous d'y contribuer.
[Poutine] souligne que l'histoire ne doit jamais être réécrite en fonction des idées du moment. Les années 1990 ont été marquées par la destruction [...] des statues des héros de l'URSS. Poutine exige que l'on mette fin à ce qui rappelle précisément les conception historiques communistes : l'histoire ideologisée, les pages blanches des manuels, les photos tronquées [p.60]