On a toujours à apprendre quand on sait écouter aux portes ou derrière les paravents de laque !
Quand on possède la vue, on croit que l’on aura toujours le temps de contempler les belles choses et l’on regarde plus volontiers des objets sans valeur… Un jour survient où l’on ne peut plus voir et on s’aperçoit qu’on a été stupide !
Jamais est un mot que vous employez en France un peu à tort et à travers ! Nous sommes plus prudents ! En Asie nous ne le prononçons que rarement mais à bon escient…
Ce fut la plus merveilleuse des promenades… La Chevrolet n’aurait pas convenu : quand on est éperdument amoureux d’une fille d’Asie, il faut le cyclo !
Il n’a pas la malignité de la Souris, l’obstination du Buffle, la violence du Tigre qui rallume la guerre, l’hypocrisie du Chat, la perfidie du Serpent, la résignation du Cheval, la puanteur du Bouc, l’ineptie du Singe, la témérité irréfléchie du Coq… Il représente l’espérance…
Il nous faut connaître nos vrais ennemis avant d’abattre les cartes maîtresses !
Les amoureuses sont ainsi faites qu’elles n’hésitent pas à prendre tous les risques !
Il vaut toujours mieux savoir à quoi s’en tenir avec les femmes !