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EAN : 9782277226659
158 pages
J'ai lu (26/02/2001)
2/5   1 notes
Résumé :
158pages. poche. broché.

Sous le règne de Victoria, époque puritaine s’il en fut les motifs de mariage ne manquent pas : l’argent, un titre de noblesse… Et, très accessoirement, l’amour.
Aldora, dernière fille de la marquise de Berkhampton et filleule de la reine, a de la chance : elle pourra choisir son futur époux, puisqu’elle est riche et de la meilleure noblesse.
Mais le destin en a décidé autrement : cette année-là, Aldora rencontre... >Voir plus
Critiques, Analyses et Avis (2) Ajouter une critique
Encore une histoire reprenant un grand classique des romans d'amour. Aldora est une jeune femme trop intelligente pour accepter qu'on lui impose ses choix. Parfois, elle agit comme un poulet sans tête. On a un séducteur qui voit l'avantage politique et social d'une union avec la demoiselle. Par la suite il en tombe follement amoureux. Tout est classique de chez classique. Tel un conte merveilleux, tout finit bien. le couple fait ce qu'on lui demande gentiment. Cette lecture n'apporte rien de nouveau. Je passe à autre chose.
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Citations et extraits (9) Voir plus Ajouter une citation
Quoi de plus agréable, en effet, que le jeu de la séduction ? Un jeu excitant, raffiné, réservé aux fins esprits. Il comparait cette sensation à celles qu’il éprouvait lors de ses parties de chasse. Traquer un gibier, le suivre prudemment, patiemment et, enfin, épauler le fusil et tirer. C’était pour lui une source de joie inestimable, irremplaçable. La chasse, tout comme la conquête d’une femme, lui procurait une satisfaction qui l’emplissait d’orgueil, le laissait fourbu mais au comble du bonheur.
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Selon les règles établies, lorsqu’un homme quittait sa protégée et payait largement pour le plaisir éprouvé, il ne devait pas y avoir de larmes ni de récriminations. La jeune femme repartait, bien plus riche qu’auparavant, avec, généralement, quelques trophées de valeur dont elle pouvait s’enorgueillir. Mais lorsqu’il s’agissait du duc, les bras s’agrippaient, les yeux versaient des larmes brûlantes et les voix le suppliaient de rester en lui demandant inutilement pardon.
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Aucune femme ne restait longtemps dans sa vie et, invariablement, c’était lui qui se lassait le premier. Et à chaque rupture, à chaque larme versée par une femme délaissée, il se posait la même question : d’où lui venait donc ce pouvoir si merveilleux et si destructeur ? Pourquoi toutes ces femmes étaient-elles prêtes, par amour pour lui, à perdre leur âme ?
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Dans le monde où il évoluait, personne ne s’offusquait d’une affaire de cœur, si ce n’était le mari bafoué. Alors une aussi jeune personne, ne faisant en outre pas partie du cercle de ses amis intimes, n’avait vraiment aucun droit de se montrer aussi critique !
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Il possédait une sorte de magnétisme inexplicable qui les attirait inexorablement. Et ce magnétisme, qu’il considérait comme un don des dieux, avait transformé sa vie en un lit parfumé de pétales de roses.
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