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Citations sur Représailles orchestrées (18)

Ce n’était pas les cobayes qui manquaient en ce bas monde. Il choisit un sujet facile à aborder et possédant une déviance accrue, Miguel Torrès. Son attirance pour les femmes et sa perversité étaient bien connues. Pour le convaincre, il n’eut pas à chercher bien loin. Un revenu mensuel non déclaré lui serait versé. Chaque mois, il lui donna une enveloppe remplie de billets. Le gardien suivit sa thérapie tous les quinze jours et laissa Franck assister à ses traques. Très vite, Torrès passa à l’acte. De prédateur, il endossa le rôle d’agresseur.
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C’était une chose de supprimer quelqu’un qui vous a fait du mal au point de vous laisser pour morte dans la nature, c’en était une autre de tuer froidement un individu, aussi malfaisant fût-il.
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Romain subissait avec bravoure les discriminations, cependant un jour, il se jurait de leur faire payer. Il essayait de paraître fort, mais les mots le brisaient jusqu’au cœur. 
Il fut repoussé par sa génitrice qui avait honte de lui, puis par ses camarades et par la société en général. Ce monde se basant uniquement sur les apparences, il souhaitait se venger de lui au nom de tous ceux qui subissaient des injustices. À force de ruminer, de prendre sur lui, de tout enfouir, il passa à l’acte, bien aidé par son praticien qui fit surgir l’être le plus mauvais qui vivait en lui.
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Ces personnes venaient de voir un meurtre, en se sentant totalement impuissantes. Si elles avaient eu conscience qu’elles étaient plusieurs, elles auraient certainement trouvé le courage nécessaire pour sauver la victime. Malheureusement, avec la purée de pois, les témoins ne purent identifier l’agresseur. À cause de cela, ils n’auraient pas pu le signaler à la police et ils n’en eurent pas envie. La loi du silence restait la meilleure solution ou ils seraient les prochaines cibles.
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La folie découlait de cet homme, tel un torrent en crue. Elle devenait de plus en plus présente, sortant de lui comme de la lave en fusion. Le feu de la haine brûlait dans ses veines, et la rage pouvait se lire dans ses yeux. Pourtant ses gestes se faisaient doux, sensuels et calculateurs.
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Incapable de passer à l’acte, il préférait être spectateur. Il se délectait tout autant, peut-être même plus, puisqu’il ne se salissait pas les mains. L’absence de remords caractérisait le praticien. Il n’avait peur que pour lui-même. Sa petite personne était au cœur de ses préoccupations, mais son cœur sec ne battait jamais pour les autres, encore moins pour ses patients. Ils n’étaient que des cobayes pour assouvir sa folie grandissante. Franck se prenait pour le plus éminent chercheur de la Terre. Son ego démesuré n’avait d’égal que sa démence.
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Célibataire, elle se consacrait à la lecture et à la photographie. Il l’avait vu trier maintes fois des clichés sur la petite table près de la fenêtre. Ensuite, elle s’installait toujours dans le même fauteuil pour lire. Ses seules sorties se limitaient aux visites qu’elle faisait à sa tante en se rendant sur sa tombe, à faire des courses et à se délecter de longues balades en solitaire avec son appareil photo. L’homme la savait posée et calme. Toutefois ces temps-ci, il avait observé une certaine nervosité chez la jeune femme, ce qui ne lui ressemblait guère.
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Tel un serpent venimeux, le praticien s’insinuait dans son cerveau, injectant son poison. Cela fonctionnait à merveille, l’agressivité de son patient remontait à la surface. Il avait pu le constater avec cette malheureuse randonneuse. Même s’il avait été contrarié de ne pas avoir assisté à la scène, il se félicitait des résultats de ses soins.
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Il savait jouer de ses yeux bleus, et de son sourire qui dévoilait des dents blanches bien alignées. Mais tout chez lui n’était que façade, il possédait une personnalité sombre, voire diabolique. Le spécialiste avait été déchu de ses fonctions du fait d’avoir manipulé plusieurs de ses patients, et pratiqué des thérapies jugées risquées et non conformes à la déontologie. Il avait travaillé dans une unité psychiatrique dans le but de peaufiner ses recherches. Ainsi, l’état lui avait alloué les fonds nécessaires. Il avait utilisé les malades les plus dangereux afin de les étudier et les asservir à sa guise grâce à l’hypnose profonde. Il leur avait insufflé le petit quelque chose, la minuscule étincelle de sorte que leur envie de meurtre se transforme en acte.
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Chacun s’y réfugiait quand il avait envie d’être seul. La solitude restait leur meilleure compagne. Ils retrouvaient dans leur antre un peu d’intimité. Certains prirent leurs aises, en construisant un loft à plusieurs pièces, en regroupant plusieurs alcôves. D’autres se sentaient mieux dans des espaces confinés et ils préférèrent se fabriquer deux salles, l’une pour dormir et l’autre pour vivre. Le seul bémol consistait dans le manque de commodités.
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