Citations sur Sexy Lawyers, tome 3.5 : Entre parenthèses (23)
- Tun'as jamais été belle, Chelsea. Tu es sensuelle à en couper le souffle. Tu es incroyablement canon. «Belle» ne suffit pas à te décrire.
J'adore la voire appuyée contre moi. Le contraste mes tatouages colorés sur sa peau pâle est superbe.
Elle est mon amour,mon foyer,le réconfort de mon âme,la gardienne de mon cœur,le centre de mon monde. La seule raison pour laquelle je crois en ma propre bonté,c'est que je la reflétée dans ses yeux.
- Sans toi,je ne sais pas comment...je ne sais pas ce que je ferais.
- Je n'ai jamais vu de plus sexy que toi avec tes gros muscles et tes totouages,en train de faire une tresse à une fillette de six ans,chuchote Chelsea.
-Comment on est enceinte à l’ancienne ? crie Regan.
-C’est quand l’homme et la femme tombent amoureux et que l’homme met son pénis dans le vagin de la femme et que neuf mois plus tard, un bébé sort, explique Rosaleen, clairement exaspérée. Regan me regarde comme si j’étais un monstre.
-T’as mis ton pénis dans le vagin de Maman ? Bon sang, la situation a complètement dérapé.
-Pourquoi t’as fait ça ?
-Je vais être le boss…
-On parlera de ça quand tu seras plus grande, ma chérie.
-Je vais vraiment gerber…
-Et maintenant un bébé va sortir en rampant ?
-Pas tout à fait, non.
-T’es tellement immature, Regan.
-Tais-toi, Rosaleen.
-J’m’sens vraiment pas bien. Ronan ajoute la cerise sur le gâteau.
-Il est grand comment, ton vagin, Maman ?
-Pas si grand, je réponds, en essayant d’être serviable. Chelsea tourne brusquement la tête vers moi et nous éclatons de rire.
- Tu vas me faire pleurer, petit merdeux, je dis en allant vers Rory.
- C'était le but de mon plan machiavélique, mon vieux, rétorque-t-il.
Je prie.
Je commence par dire à Dieu que je ne lui donnerai pas Chelsea et que s'il essaie de la prendre je débarquerai au Paradis pour la ramener à la maison. Mais surtout, je l'implore. S'il te plaît, Dieu, ne me laisse pas tout foutre en l'air. Fais que tout se passe bien. S'il te plaît. Je t'en supplie, Dieu. S'il te plaît, je t'en supplie.
Elle s'adresse à Kennedy, mais c'est Brent qui répond.
- Génial. Que personne ne te foute la trouille, Chelsea. Cette histoire d'accouchement, c'est du gâteau.
Kennedy lui donne la vraie réponse.
- Prends les médicaments, Chelsea. Prends-les tous.
- Je suis tellement excitée ! s'exclame Sofia en frappant dans ses mains. Tout se passe comme prévu, dit-elle à son mari.
- Comme prévu ? je demande.
- Ouais, répond Stanton. Samuel n'est plus vraiment un bébé, mais on n'en veut pas d'autre...
- ... alors on attendait que vous vous lanciez pour emprunter les vôtres... poursuit Sofia.
- ... et vous les rendre quand on aura eu notre dose ! conclut Stanton.
- Tu pleures parce que tu es déçue. Parce que, ne serait-ce qu'un instant, tu as cru qu'on allait avoir un bébé, et que tu t'en faisais une joie. Parce que tu veux un bébé.
Sur ces mots, je réalise ce que je ressens au fond de moi.
- Et moi aussi, en fait.
Elle lève brusquement la tête et étudie mon visage.
- Ah bon ?
J'essuie ses larmes avec mon pouce.
- Eh ben, jusqu'à il y a quelques minutes, non. Mais maintenant... j'en veux un. L'idée d'avoir un gamin qui a tes yeux et ma personnalité pétillante...
J'obtiens un éclat de rire, car j'ai été décrit de maintes façons, mais jamais comme étant pétillant.
- ... ce serait génial, Chelsea.