J'ai apprécié
L'Ame du mal - avec quelques réserves - j'ai supporté
In Tenebris mais
Maléfices m'est tombé des mains.
Chattam use et abuse du lugubre, du sinistre et du poisseux. On oscille entre des descriptions très techniques (le FBI, l'histoire des sciences du comportement, les techniques de profilage, la police scientifique) et des descriptions... comment dire ? Poético-pompeuses ?
"La nuit gîtait sur le flanc, balayée sans ménagement par les vagues de l'aube. L'écume lumineuse s'étalait sur le ciel, noyant les étoiles les unes après les autres. Il ne restait plus que la lune, tel un coquillage affleurant la surface, trop rond pour donner prise aux courants sidéraux."
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