Citations sur The New Yorker : Les dessins inédits (10)
"Louise, ma chérie, je dois vous avouer une chose. Je ne suis pas le père de votre enfant."
Otto SOGLOW, in The New Yorker : Les dessins inédits, 2007, Les Arènes (p. 13).
"Avant d'entamer le débat sur la meilleure façon de baiser les clients et les banques, je vous propose de commencer par une prière."
Jack ZIEGLER, in The New Yorker : Les dessins inédits, 2007, Les Arènes (p. 173).
"Je pense que la longévité de notre mariage ne peut s'expliquer que par le syndrome de Stockholm."
COTHAM, in The New Yorker : Les dessins inédits, 2007, Les Arènes (p. 165).
"Merci pour votre mail. J'apprécie l'intérêt que vous me portez, mais à l'heure actuelle, je suis tout à fait satisfait par la taille de mon pénis."
Mick STEVENS, in The New Yorker : Les dessins inédits, 2007, Les Arènes (p. 164).
"Ted Burton ! Comment ça va ? Et comment va mon ex-femme ? Mes enfants ? Mon chien ?"
Dana FRADON, in The New Yorker : Les dessins inédits, 2007, Les Arènes (p. 126).
"[AU TÉLÉPHONE] - On dirait Ben Laden... à moins que ce soit ta mère."
COTHAM, in The New Yorker : Les dessins inédits, 2007, Les Arènes (p. 164).
"Je pensais que je n'aurais plus jamais envie de rire. Et puis j'ai vu votre veste."
Leo CULLUM, in The New Yorker : Les dessins inédits, 2007, Les Arènes (p. 167).
"C'est quoi le contraire de Eurêka ?"
Dana FRADON, in The New Yorker : Les dessins inédits, 2007, Les Arènes (p. 105).
"Les hypocondriaques ont le droit d'être malades eux aussi ! Parfaitement !"
Eldon DEDINI, in The New Yorker : Les dessins inédits, 2007, Les Arènes (p. 65).
"Tu vois, Willy, c'est un gnou. Il a eu son heure de gloire grâce aux mots croisés, mais il est en voie d'extinction."
Helen E. HOKINSON, in The New Yorker : Les dessins inédits, 2007, Les Arènes (p. 12).