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Citations sur Le pain nu (54)

Les morts n’ont pas peur, ne sont pas tristes et ne se disputent pas. Chacun à sa place. Un mort remplace un autre mort. Si le monde est ancien c’est que toute la terre n’est qu’un immense cimetière.
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Quel univers compliqué ! Je n’arriverai jamais à les comprendre. Quand on pense qu’elles vont provoquer une catastrophe, elles vous sauvent. Le contraire est aussi vrai. Tout dépend de leur état d’esprit.
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« Je considérais le vol comme légitime dans la tribu des salauds. »
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Pourquoi vivre si on doit mourir ?
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Le monde doit déborder d’idiotie.
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« La beauté tourmente. C’est une torture ! »
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Une tombe qui restera quelconque, anonyme, sans fleur, sans sépulture. Une tombe qui sera effacée par le temps, petite chose perdue dans un amas de grandes choses…
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Le tajine de poisson était délicieux, très épicé. On but du vin et on
évoqua le jour de malheur. Oum Kalthoum chantait ses vieilles
chansons. On fuma du kif.
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Je me rappelai le geste monstrueux de mon père en train de tordre le cou à Abdelkader. J'ai failli dire "mon père n'aimait pas mon frère. D'ailleurs, c'est lui qui l'a tué. Oui, je dis bien tué. Assassiné. Je l'ai vu. J'ai assisté au meurtre. C'est lui qui l'a tué. Je l'ai vu. Il lui a tordu le cou. Le sang a giclé de sa bouche. Je l'ai vu de mes propres yeux. C'est mon père son assassin. "
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Cette femme me faisait peur : elle me propo­sait de la péné­trer, d’entrer dans sa chair comme un couteau pénè­tre une plaie. Elle s’est mise sur le lit et a ouvert les jambes. Il n’y avait pas de poil sur son « truc ». Elle prit ma verge dres­sée entre ses doigts. Je pensai soudain : et si la « plaie » avait des dents ! Je glis­sai entre ses cuis­ses avec crainte. Elle m’enveloppa de ses jambes et me serra très fort, appuyant sur mes petits fesses avec ses talons. Elle se donnait de la peine. Éner­vée, elle me dit :

- Tu ne sais pas encore péné­trer une femme.

Je ne savais quoi répon­dre. Je pensais aux chiens qui baisent et qui ne peuvent plus se déta­che. Sa « plaie » était sèche, elle me repoussa, mouilla ses doigts avec de la salive et les porta à sa « bouche » infé­rieure.
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