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Critique de Zora-la-Rousse
Dans mon parcours re-découverte d'Agatha Christie, je demande Meurtre au champagne, un roman policier charmant dont j'ai apprécié la fraîcheur et l'originalité.
Comme hantée, Iris Marle se remémore une fois encore ce repas terrible au restaurant le Luxembourg au cours duquel sa soeur, la jeune et jolie Rosemary Barton, est morte empoisonnée après avoir bu le breuvage mortel contenu dans sa coupe de champagne. Un bien triste suicide attribué à un état de faiblesse consécutif à une grippe… Mais cette thèse est-elle crédible ? La question se pose notamment depuis que des lettres anonymes ont été envoyées à George Barton pour lui annoncer que sa femme avait été bel et bien assassinée. Ce dernier décide alors de résoudre le mystère en organisant un second repas, avec les mêmes convives, pensant que le coupable doit se trouver parmi eux.
Mais a-t-il bien tous les éléments de l'affaire ? Car apparemment la demoiselle était moins sage que les apparences ne pouvaient le laisser paraître. N'avait-elle pas un amant, suscitant ainsi la jalousie de l'épouse bafouée mais aussi de son propre époux ? N'était-elle pas « inconséquemment » riche suite à un héritage quelque peu mystérieux aux yeux de certains membres de sa famille bien moins lotis suscitant ainsi leur envie…
Voici là donc un roman joliment construit où le lecteur découvre petit à petit l'intrigue depuis les différents points de vue de chacun des protagonistes du repas ainsi que leurs mobiles éventuels de meurtre.
Mais c'est aussi un livre aux accents romantiques où plusieurs histoires d'amour se développent ou évoluent au fil des pages, de manière assez inédite et moderne, sans sombrer pour autant dans la mièvrerie
Et le suspense, non de l'intrigue principale qui se devine assez facilement, mais des « affaires » secondaires tient le lecteur en haleine quasi jusqu'au bout du livre...
Comme hantée, Iris Marle se remémore une fois encore ce repas terrible au restaurant le Luxembourg au cours duquel sa soeur, la jeune et jolie Rosemary Barton, est morte empoisonnée après avoir bu le breuvage mortel contenu dans sa coupe de champagne. Un bien triste suicide attribué à un état de faiblesse consécutif à une grippe… Mais cette thèse est-elle crédible ? La question se pose notamment depuis que des lettres anonymes ont été envoyées à George Barton pour lui annoncer que sa femme avait été bel et bien assassinée. Ce dernier décide alors de résoudre le mystère en organisant un second repas, avec les mêmes convives, pensant que le coupable doit se trouver parmi eux.
Mais a-t-il bien tous les éléments de l'affaire ? Car apparemment la demoiselle était moins sage que les apparences ne pouvaient le laisser paraître. N'avait-elle pas un amant, suscitant ainsi la jalousie de l'épouse bafouée mais aussi de son propre époux ? N'était-elle pas « inconséquemment » riche suite à un héritage quelque peu mystérieux aux yeux de certains membres de sa famille bien moins lotis suscitant ainsi leur envie…
Voici là donc un roman joliment construit où le lecteur découvre petit à petit l'intrigue depuis les différents points de vue de chacun des protagonistes du repas ainsi que leurs mobiles éventuels de meurtre.
Mais c'est aussi un livre aux accents romantiques où plusieurs histoires d'amour se développent ou évoluent au fil des pages, de manière assez inédite et moderne, sans sombrer pour autant dans la mièvrerie
Et le suspense, non de l'intrigue principale qui se devine assez facilement, mais des « affaires » secondaires tient le lecteur en haleine quasi jusqu'au bout du livre...
