Ouïe! Aah! Ouille! C'est quand tu prends trois bons uppercuts d'affilée et que tu essayes de te relever d'un K.-O. presque total.
Le Théorème du Vaquita se lit d'une traite ; d'un souffle (mais court, très court) ; parce qu'on ne peut relever le regard de ce spectacle de désolation que nous brosse
Hugo Clément chapitres après chapitres.
S'il nous dépeint le Mordor ; cette terre brûlée – « notre » Terre brulée – que nous façonnons, défigurons, vitriolons jours après jours, c'est pour mieux susciter la colère et la peur qui sont des émotions structurelles lorsqu'il s'agit de partir au combat d'un ennemi aussi redoutable.
Pourtant, il y a de l'espoir…
« Si on veut sauver notre espèce, nous devons inventer une nouvelle manière d'habiter la Terre.
Quand vous aurez fermé ce livre, il sera temps de passer à l'action. » nous dit-il.
Et si on se levait ?
Et si on y allait ?
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