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Citations sur Le dernier des nôtres (96)

Savoir. J’avais tant voulu savoir… mais ça ! Être marqué au fer rouge. Être coupable du pire dont un homme est capable. Naître de cette infamie. Je me sentais sale. Pris au piège. Répugnant.
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"Le mal existe, les sadiques aussi.
N'allez pas leurs chercher d'excuses, ils n'en n'ont pas.
C'est leurs tempérament profond.
Ils prennent leurs plaisirs dans les blessures qu'ils infligent.
Il faut les fuir ou si vous en avez les moyens, les abbatre, parce qu'en tant qu'être sensible, vous avez des limites que ces gens là n'ont pas."
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"J'avais l'impression d'être séparé du monde par une épaisse couche de solitude.
Seule le bruit des glaçon contre mon verre venait, à chaque gorgé de scotch, me rappeler que mon existence n'était pas virtuelle."
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Marcus était un anachronisme ambulant, à savoir un être mal armé pour la vie. (…) J'avais décidé de lui apprendre à se défendre. Il s'était assigné la mission de me civiliser.
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Il est facile de trouver la solution quand les années ont passé, mais c'est dans le brouillard du présent que les décisions se prennent.
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- […] Vous savez, ajouta Marthe en regardant Rebecca, il est facile de trouver la solution quand les années ont passé, mais c’est dans le brouillard du présent que les décisions se prennent.
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Je crois que j’aurais mieux vécu une rupture franche. J’aurais pu la haïr sans arrière-pensée, mais cette disparition laissait la place au doute et à ce sale espoir qui vous attache au passé et vous interdit d’avancer.
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Je me détestais d’être obsédé par Rebecca. J’aurais voulu écraser mes sentiments, mais ils semblaient indestructibles. La ville m’était devenue hostile. À tout moment un lieu, une chanson, une image pouvaient me vriller le cœur et me laisser là, pantelant, seul dans la rue, à attendre que l’onde de chagrin change de fréquence pour reprendre mon chemin. Mon impuissance me faisait horreur. J’avais essayé tout ce qui était en mon pouvoir pour rayer cette femme de la carte de mon existence, mais elle l’avait irrémédiablement tachée de son encre.
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Je m’assis sur l’un des cageots qui servaient de sièges dans l’atelier. Je massai mon visage sans parvenir à effacer ce que je venais de voir. Je repris la photo pour mieux la regarder. Un flux d’émotions contradictoires me submergeaient. La pièce s’est mise à tourner. Mes oreilles bourdonnaient. Ce que j’avais enfoui depuis des années continuai à remonter. Tout a défilé.
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Les protéines animales polluaient notre corps et notre esprit
Et elle s'insurgeait de ces mises à mort aussi cruelles qu'inutiles
engendrées par le "dérèglement diététique occidental".
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