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Critique de CaroGalmard
Encore un roman qui traite de la 2nde guerre mondiale. Encore un roman qui alterne entre récits pendant la guerre et récits post guerre. Encore un personnage qui cherche ses origines. Encore une histoire d'amour entre personnes dont le compte en banque est aussi plein que la Seine à Paris en 1910.
Bref, on se dit pourquoi le lire finalement ce bouquin ?
Eh bien tout simplement parce qu'il est agréable, avec cette petite touche d'humour en plus. Notre beau gosse principal est à la fois ambitieux comme un américain et d'une candeur touchante ; son ami, un vrai petit lord britannique ; la soeur baba cool comme on les aime (indispensable la baba-cool dans un roman qui se situe en partie dans les années 70). Quant à la belle, elle est belle et un peu casse-pied, sinon tout serait trop facile pour le beau gosse principal.
On oscille entre Elle s'appelait Sarah de Tatiana de Rosnay, Fanfan d'Alexandre Jardin et la Voleuse de livres de Markus Zusak.
Tout n'est pas crédible, le scénario est un peu cousu de fil blanc, mais il reste difficile de se détacher du livre avant de l'avoir terminé. Très bonne lecture de vacances.
Bref, on se dit pourquoi le lire finalement ce bouquin ?
Eh bien tout simplement parce qu'il est agréable, avec cette petite touche d'humour en plus. Notre beau gosse principal est à la fois ambitieux comme un américain et d'une candeur touchante ; son ami, un vrai petit lord britannique ; la soeur baba cool comme on les aime (indispensable la baba-cool dans un roman qui se situe en partie dans les années 70). Quant à la belle, elle est belle et un peu casse-pied, sinon tout serait trop facile pour le beau gosse principal.
On oscille entre Elle s'appelait Sarah de Tatiana de Rosnay, Fanfan d'Alexandre Jardin et la Voleuse de livres de Markus Zusak.
Tout n'est pas crédible, le scénario est un peu cousu de fil blanc, mais il reste difficile de se détacher du livre avant de l'avoir terminé. Très bonne lecture de vacances.
