Après que nos parents ont payé nos études, nous ferons payer celles de nos enfants par nos petits enfants.
Nous restons la quatrième terre d'accueil pour les multinationales, qui pestent contre notre fiscalité, nos charges sociales, notre droit du travail, notre bureaucratie et nos conflits sociaux, mais cèdent au "French way of life" lorsqu'elles veulent s'établir en Europe.