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Critique de Matildany
Annick Cojean est grand reporter au Monde, et a été récompensée par le Prix Albert Londres pour sa série de reportages "les Mémoires de la Shoah". Au fil de sa carrière, elle a rencontré plusieurs fois Simone Veil, et on peut dire que leur relation s'est teintée d'une amitié respectueuse, qui est évoquée dans ce petit roman graphique.
C'est donc par le prisme d'échanges professionnels qu'Annick Cojean nous présente la femme, la mère, l'épouse et la ministre, Simone Veil, qui se livre avec confiance à la journaliste.
Ce récit permet d'aborder avec facilité les différents combats et engagements de cette Grande Dame, et met en avant également la propre mère de la reporter, pour donner une idée de la vie quotidienne des femmes de l'époque.
Le dessin est simple mais lumineux, et les tonalités différentes indiquant les deux repères temporels en font un livre accessible pour découvrir un pan d'histoire.
C'est donc par le prisme d'échanges professionnels qu'Annick Cojean nous présente la femme, la mère, l'épouse et la ministre, Simone Veil, qui se livre avec confiance à la journaliste.
Ce récit permet d'aborder avec facilité les différents combats et engagements de cette Grande Dame, et met en avant également la propre mère de la reporter, pour donner une idée de la vie quotidienne des femmes de l'époque.
Le dessin est simple mais lumineux, et les tonalités différentes indiquant les deux repères temporels en font un livre accessible pour découvrir un pan d'histoire.
