J'ai eu du mal au démarrage de cette histoire et me suis dit que c'était le
Jenny Colgan de trop...
Comme Polly dans "
La petite boulangerie du bout du monde", Izzy perd son boulot au début de l'histoire...
Comme Flora dans "
Une saison au bord de l'eau", Izzy a un patron plein aux as...
Mais, Izzy, elle, est la maîtresse de son patron !
Là commencent les différences. Ouf...
Heureusement aussi, il y a le grand-père d'Izzy qui était boulanger. Et Grampa est irrésistible... Et puis, il y a la meilleure amie... Et puis, il y a Caroline, à qui on a envie de donner des claques de prime abord... et dont j'ai eu envie de me moquer en raison de son snobisme
Et me voilà tout de même emportée par cette histoire après plus de 50 pages que j'ai trouvées peu originales par rapport aux précédentes histoires de
Jenny Colgan.
Au final, j'ai passé de beaux moments, bien précieux en ces temps troublés.
Commenter  J’apprécie         250