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Cupcake Café (Colgan) tome 1 sur 3
EAN : 9782810420391
499 pages
Editions Prisma (02/02/2017)
3.93/5   921 notes
Résumé :
Lorsqu'elle est licenciée, Izzy décide de tenter sa chance en ouvrant à Londres un salon de thé spécialisé dans les cupcakes. En effet, la jeune femme a un talent particulier pour réaliser ces petits gâteaux. Un don qu'elle tient de son grand-père boulanger.
Mais les ennuis ne vont pas tarder à arriver, et Issy devra se battre pour réaliser son rêve.
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Critiques, Analyses et Avis (172) Voir plus Ajouter une critique
3,93

sur 921 notes
Entre le titre et l'illustration sur la couverture , on se doute bien de ce qu'on va trouver dans ce roman , beaucoup de douceur , et de gourmandise .
A la suite d'un licenciement, Izzy va ouvrir un café /patisserie au bout d'une impasse pavée décorée d'un poirier malingre .
Avant , elle était en couple et travaillait dans l'immobilier mais sa passion étant les gâteaux, elle vivra de sa passion . de la visite de la boutique , en passant par la banque, le recrutement d'employés etc... Jenny Colgan vous immergera dans le monde merveilleux de la pâtisserie ... C'est un roman classé feel-good qui agit comme un fondant au chocolat sur votre cerveau . Grouillant de vie, de "positive attitude" , d'amitiés, de sucre aussi ...
C'est le roman le plus abouti de cet auteur , le plus réaliste . On a l'impression de connaître ces personnages, ce quartier , cette impasse, ce café gourmand .
Bien-sûr c'est léger, bien-sûr c'est gentil , mais l'automne est là, "winter is coming"... alors une petite pause sucrée au Cupcake café s'impose dans ce monde de brutes ...
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Izzy tombe de haut lorsqu'elle apprend qu'elle est licenciée de l'entreprise immobilière où elle était jusque là une assistante zélée et appréciée de ses collègues. Pourquoi Graeme, son patron, ne l'a-t-il pas prévenue, alors qu'ils entretiennent une relation secrète depuis plus de huit mois ? Effondrée, trahie et désemparée, Izzy finit par penser que c'est peut-être là une occasion de commencer une nouvelle vie et de faire ce qu'elle aime vraiment : la pâtisserie. Il faut dire que la jeune trentenaire a grandi dans la boulangerie de son grand-père et qu'elle a profité de ses précieux conseils pour réussir tartes, beignets et gâteaux. Grâce à sa prime de licenciement, elle décide d'ouvrir un petit salon de thé spécialisé dans les cupcakes. Au fond d'une impasse, dans un quartier cosmopolite un peu bobo, le Cupcake Café voit le jour à la plus grande joie d'une Izzy à la fois fière et pleine d'appréhension. Gentille, généreuse et naïve, saura-t-elle réagir en cheffe d'entreprise et faire prospérer son petit commerce ?

Bienvenue dans le monde doux et sucré du Cupcake Café ! Ici tout n'est que bons sentiments, amitiés indéfectibles et petits gâteaux recouverts de crème au beurre. On y cultive l'entraide, la générosité, les rapports de bon voisinage, l'altruisme. Bien sûr, il y a des obstacles, des méchants, des gens qui ne pensent qu'à l'argent, à leur petit confort personnel. Mais à la fin, c'est l'amour et la bonté qui triomphent.
Jenny Colgan utilise toujours la même trame. Une fille gentille, jolie sans le savoir, perd son travail et finit par vivre de sa passion. On trouve aussi une meilleure amie un peu excentrique, un ex pas très sympathique, un possible nouvel amour et une bonne dose de bienveillance et d'optimisme.
Alors non, ce n'est pas de la grande littérature, mais cela fait un bien fou de se plonger dans ce monde de bisounours, de se réchauffer d'un bon chocolat chaud, de se gaver de cupcakes et de s'assoir dans ce salon de thé convivial, en compagnie d'amis dont on partage les joies et les peines. Une lecture réconfortante.
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Izzy est une belle jeune femme au charme surrané. Elle a grandi auprès de son grand-père qui lui a transmis l'amour de la pâtisserie. Mais surtout c'est une vraie gentille qui ne se met jamais en avant et passe tout son temps libre à faire des gâteaux pour régaler ses amis, ses collègues, ses compagnons de bus.

Izzy a une autre passion : Graeme, son chef de service. Amoureuse, elle ne voit pas qu'il se moque d'elle. Quand il lui apprend son licenciement, Izzy perd pas mal d'illusions et son travail. Heureusement son appartement lui appartient.

Elle habite un quartier populaire mais charmant et elle y a repéré une boutique à louer. Un rêve un peu fou de créer son cupcake café l'habite. Elle arrive à convaincre le banquier et se lance dans ce défi. Elle n'oublie pas pour autant son grand-père malade en maison de retraite et va le voir régulièrement. Celui-ci,pour aider Izzy, lui envoie des recettes de gâteaux. Ces recettes se retrouvent à chaque début de chapitre et je peux vous assurer que ce n'est pas sans dommages car gourmande, j'avais une faim terrible !

J'ai traîné tout ce que j'ai pu dans cette histoire, j'étais bien avec Izzy, Léna, Pearl, Caroline. Ces femmes complices, amicales, bienveillantes malgré les coups durs de la vie, donnent une belle leçon de solidarité.

Le Cupcake café est un lieu convivial où tous les clients, riches ou pauvres, adultes et enfants, s'y côtoient avec respect et politesse.

Un autre monde dans le nôtre pourtant, une parenthèse bien agréable et parfaite pour cet automne. À déguster.
Lien : http://pyrouette.canalblog.c..
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Bonjour à tous ! Je m'appelle Moïra, alias « Miki » et, pour une fois, c'est moi qui vais rédiger cet article à la place de ma maîtresse Saiwhisper. C'est Les Lectures de Maya… et de Catya qui a soufflé l'idée à plusieurs blogueurs de laisser leurs animaux de compagnie écrire des avis littéraires (lien des participants sur le blog). Alors, après avoir lissé mes petites moustaches blanches, j'ai pris mon courage à deux pattes, j'ai bondi hors de ma cage et je suis allée taper sur le clavier de ce grand truc gris avec un écran. le week-end dernier, ma maîtresse a lu une romance gourmande pleine de pâtisseries ! (Berk, je préfère du pain dur…) Apparemment, elle a été assez déçue, parce qu'elle n'a pas arrêté de maugréer dans son coin et de dire que c'était trop guimauve pour elle.

Il faut avouer que ce récit sent le réchauffé ! On suit Izzy/Isabel, une secrétaire qui va se faire licencier du jour au lendemain par son patron dont elle est secrètement amoureuse et avec qui elle a eu une liaison. Étant donné qu'elle est douée pour la cuisine, elle a décidé de faire de sa passion un métier ! (J'aurais préféré qu'elle soit maraîchère ou qu'elle vende des salades ! Miam !!!) On va donc suivre cette héroïne simple, naïve, trop généreuse et déterminée, lutter pour faire fonctionner son salon de thé. (Ma maîtresse m'a déjà fait sentir plusieurs thés, je trouve que cela pue atrocement ! Cela me fait souvent fuir dans ma maisonnette ! Comment peut-on humer ou boire ce genre de boisson affreuse ?) Bien évidemment, cette trentenaire va avoir des hauts et des bas… Certains vont lui mettre des bâtons dans les roues (Moi, je n'en ai pas de roue, car je ne suis pas un hamster !), tandis que d'autres vont l'aider et la soutenir.

Il ne faut pas forcément s'attendre à beaucoup d'action ou à des retournements de situation très importants… L'ensemble ne casse pas trois pépites au chocolat à un cookie. le rythme est plat, on est plutôt dans les liens que vont tisser les personnages entre eux. C'est du déjà vu que ce soit dans des films à l'eau de rose ou dans les livres feel good. le scénario n'offre aucune surprise, ce qui est bien dommage ! D'ailleurs, il ne faut pas non plus espérer grand chose des personnages… Stéréotypés au possible, Saiwhisper n'a absolument pas réussi à s'attacher à eux. Izzy est beaucoup trop gentillette et ingénue à ses yeux. À côté de cela, on distingue Graeme le patron qui veut une boniche à la maison et dans son lit (Le coq dans toute sa splendeur ! -Argh, ça crie fort ces bestioles à plumes !-), Austin le banquier qui gère les prêts des petites entreprises et qui s'occupe de Darny , son frère et enfant à problèmes (Le gentil mâle canon avec le coeur sur la main. -J'adore les coeurs de laitue… Comment ça, rien à voir ?-), Helena la colocataire ronde, bosseuse et qui dit ce qu'elle pense (Moi aussi, je suis rondouillarde ! Sai' dit que je mange trop de graines ! Mais ce n'est pas ma faute : j'adore ça !), Pearl l'employée et amie sympathique ou encore Caroline la mère bling-bling odieuse qui va devenir gentille en une trentaine de pages. Il est regrettable que tous ces personnages vont rester cantonnés à leur rôle et ne seront pas développés. le seul protagoniste qui a su toucher ma maîtresse, c'est Joe, le grand-père d'Izzy. Elle a beaucoup aimé leur relation ainsi que l'idée de placer des recettes à chaque début de chapitre. Ces recettes sont personnalisées d'annotations rigolotes qui sont en fait les commentaires que rédige Joe à sa petite fille.

En soit, le roman n'est pas mauvais. La plume est fluide, légère et facile à lire. C'est un roman sans prise de tête qui convient pour un week-end ou pour les vacances… C'est plein de bons sentiments et cela redonnera certainement le sourire à certains lecteurs ! (Pour ma part, un peu de carotte ou de pomme fraîche suffit à me donner la banane !) Néanmoins, cela reste une histoire trop classique que l'on peut vite oublier… Sai' se demande si « La Petite Boulangerie du bout du monde » rentre dans le même moule que cette histoire… Elle essayera peut-être ce récit plus tard, afin de ne pas rester sur une impression moyenne. Ainsi se finit ma critique. C'est que j'ai mal aux pattes, moi ! Et puis, j'aimerais vous y voir ! Ce clavier fait deux à trois fois ma taille ! Hmf ! Sur ce, je vous souhaite une belle journée et retourne grignoter du foin.
Lien : https://lespagesquitournent...
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J'ai eu du mal au démarrage de cette histoire et me suis dit que c'était le Jenny Colgan de trop...

Comme Polly dans "La petite boulangerie du bout du monde", Izzy perd son boulot au début de l'histoire...

Comme Flora dans "Une saison au bord de l'eau", Izzy a un patron plein aux as...

Mais, Izzy, elle, est la maîtresse de son patron !

Là commencent les différences. Ouf...

Heureusement aussi, il y a le grand-père d'Izzy qui était boulanger. Et Grampa est irrésistible... Et puis, il y a la meilleure amie... Et puis, il y a Caroline, à qui on a envie de donner des claques de prime abord... et dont j'ai eu envie de me moquer en raison de son snobisme

Et me voilà tout de même emportée par cette histoire après plus de 50 pages que j'ai trouvées peu originales par rapport aux précédentes histoires de Jenny Colgan.

Au final, j'ai passé de beaux moments, bien précieux en ces temps troublés.
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critiques presse (1)
LeJournaldeQuebec
12 février 2018
Pour adoucir le cœur de l’hiver, pourquoi ne pas se blottir au fond d’un canapé pour savourer un roman qui nous entraîne dans les petites rues de Londres, en quête de thé fumant et de petits gâteaux ? Voilà ce que la romancière britannique Jenny Colgan propose avec Rendez-vous au Cupcake Café.
Lire la critique sur le site : LeJournaldeQuebec
Citations et extraits (36) Voir plus Ajouter une citation
- Le pédiatre dit que ce n'est rien, qu'il fait ses dents. (...)
- Dans ce pays, vous trouvez très drôle que personne n'y connaît rien en bébés. Et les grands-mères , elles disent : "Oh, je ne me mêle pas des histoires de bébé", et les tantes, elles disent : "Oh, je suis trop occupée pour t'aider". Tout le monde ignore les bébés, mais vous achetez des livres stupides et regardez des émissions idiotes sur les bébés. Alors qu'ils sont tous pareils. Les adultes, pas tant que ça . Donnez-moi un couteau.
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Mais cela lui avait tant manqué. Le contact humain, la compagnie, retrouver quelqu’un en rentrant à la maison le soir. Elle s’était sentie si seule qu’elle s’était presque ridiculisée devant son conseiller financier, nom d’un chien ! Quelle honte ! Elle rougissait rien que d’y penser. Elle n’était pas passée loin de devenir une vieille fille hystérique.
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L’open space était la méthode de travail la plus cruelle jamais inventée. Parce que tout le monde se donnait en permanence en spectacle et s’efforçait de paraître heureux, jovial et bien portant, quand manifestement ce n’était pas le cas de l’entreprise.
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Dans son univers , on suivait à la lettre les recommandations des courriers, sinon on le payait d'une manière ou d'une autre. Les allocations étaient supprimées. On se voyait attribuer un autre logement et on avait pas d'autre choix que de partir, même s'il s'agissait d'un appartement horrible. Ils venaient tripoter vos enfants et, si on protestait , ils pouvaient même, Pearl en était convaincue, nous en retirer la garde. Ils nous demandaient combien de verres on avait bus, combien de cigarettes on avait fumées , combien d'heures on avait travaillé, où était le père du bébé (...)
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C’est ainsi que ça marche. Certains te volent impunément ; certains te donnent un coup de pied quand tu es à terre, mais si tu te montres généreux et gentil, les gens aiment ça.
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