Anna est bien l'exemple même de la femme moderne, qui a pris en mains son plaisir. Elle ne fait figure ni d'esclave ni de dominatrice, mais elle est la maîtresse du jeu. Son amour désire toujours plus. Alors les fantasmes se glissent dans les moindres lieux qu'Anna visite.
Contrairement à Anna, toujours excitante et souvent émoustillée, à l’avenir sexuel enfin libéré de la plus lourde contrainte de son sexe, il ne reste à l’ancien géniteur que la voix de sa partenaire.