Tout d'abord, je tiens à remercier Babelio qui m'a fait découvrir ce livre grâce à Masse Critique. C'est la première fois que je publie un commentaire sur un livre qui m'a été offert alors je me lance...
Tout d'abord je tient à féliciter l'auteur Agathe Colombier Hochberg parce qu'au vu des informations trouvées sur Babelio, je me réjouissais d'avance à détester ce roman et pourtant l'auteur m'a fait passer un agréable moment de lecture. Quand j'ai découvert ses précédant romans, cela m'a fait penser aux livre "pour filles" qu'on trouve à foison dans les rayons librairies des supermarchés ou autres romans de gare, c'est dire à quelle point j'étais réticent devant ce genre de" littérature" et pourtant force est de constater que des "Des éclairies en fin de journée" et un roman simple qui se lit avec plaisir.
La force de l'auteur réside dans le fait qu'elle contourne toujours de façon astucieuse l'intrigue qui nous parait d'abord prévisible mais dont le traitement sait surprendre le lecteur pour donner un bel élan de réalisme au récit.
C'est une histoire simple, celle d'une adolescente, Léo et de sa mère Camille confrontées toutes deux à cette fameuse "crise de l'adolescence". Certes l'histoire n'est pas spectaculaire mais l'écriture efficace d'Agathe Colombier nous rend ses personnages attachants avec une description somme toutes assez moderne d'une relation mère/fille. La description des personnages est toujours vraisemblable et l'action crédible. le tout sonne juste et n'est pas dénué d'humour.
Je ne met que deux étoiles car il manque certains ingrédients que j'apprécie dans mes lectures. Comme dit précédemment, l'histoire est peux être un peu trop simple à mon goût et ne m'a pas permis de voyager suffisamment loin dans mon imaginaire.
En résumé, je remercie Babelio qui m'a fait découvrir ce roman en me prouvant qu'en littérature il faut parfois se méfier des idées reçue. Des romans qui nous apparaissent comme étant "des romans de gare" peuvent somme toute se révéler surprenant dans l'agréable moment de lecture qu'il propose. Dans ce cas "les clichés" étaient bien plus dans ma tête que dans le roman.
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