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Critique de kuroineko
Avec Chromosome 6, je retrouve les légistes Laurie Montgomery et Jack Stapleton ainsi que l'inspecteur Lou Soldano rencontres dans Vengeance aveugle puis Contagion. Ainsi que d'autres connaissances plus ou moins agréables à revoir...
Mais Chromosome 6 nous sort aussi partiellement de New-York et de sa morgue pour nous emmener en balade à Cogo, en Guinée Équatoriale où un imposant complexe médical, animalier et génétique américain s'est installé avec la bénédiction du régime en place au vu des rentrées d'argent prévues.
Manipulations génétiques, expériences transgéniques, sciences appliquées pour faire un max de blé, voilà le programme de ce roman très prenant. Sympathiquement, Robin Cook met à disposition du néophyte en génétique un lexique à la fin du volume. Commencer par sa lecture, quitte à y revenir de temps à autre, m'a permis de rentrer tout de suite dans l'intrigue car la succession de termes médicaux et de microbiologie peut freiner la lecture. A part de très vagues réminiscences de cours de biologie au lycée sur l'ADN et ses mystères (comme ça remonte à pas mal d'années, c'est pas du tout frais dans ma tête), j'ai apprécié les définitions. Et le roman.
Paru en 1997, les champs du possible sur la manipulation génétique étaient moindres qu'à l'heure actuelle, et l'histoire sans doute d'autant plus flippante. Il n'empêche que vingt-deux ans après, Chromosome 6 pose encore beaucoup de questions éthiques... ce que les praticiens du livre ne se posent guère au vue des dividendes à en tirer. Toujours le problème des apprentis dieux qui ne voient que le "je peux le faire", sans trop s'interroger sur "est-ce que j'ai le droit de le faire?" À noter malgré tout que le généticien de génie à l'origine de l'idée de base sur laquelle se fonde l'entreprise GenSys a au moins le mérite de se poser des questions... après.
Quel rapport entre ce petit coin de Guinée Équatoriale et nos légistes de New-York? Un mort, bien sûr! Pour le reste, à vous d'empoigner ce roman et de découvrir tous les ressorts de cette passionnante et inquiétante intrigue. Malgré des personnages qui frisent souvent trop la caricature et des dialogues moyens, le livre reste difficile à reposer une fois entamer.
Mais Chromosome 6 nous sort aussi partiellement de New-York et de sa morgue pour nous emmener en balade à Cogo, en Guinée Équatoriale où un imposant complexe médical, animalier et génétique américain s'est installé avec la bénédiction du régime en place au vu des rentrées d'argent prévues.
Manipulations génétiques, expériences transgéniques, sciences appliquées pour faire un max de blé, voilà le programme de ce roman très prenant. Sympathiquement, Robin Cook met à disposition du néophyte en génétique un lexique à la fin du volume. Commencer par sa lecture, quitte à y revenir de temps à autre, m'a permis de rentrer tout de suite dans l'intrigue car la succession de termes médicaux et de microbiologie peut freiner la lecture. A part de très vagues réminiscences de cours de biologie au lycée sur l'ADN et ses mystères (comme ça remonte à pas mal d'années, c'est pas du tout frais dans ma tête), j'ai apprécié les définitions. Et le roman.
Paru en 1997, les champs du possible sur la manipulation génétique étaient moindres qu'à l'heure actuelle, et l'histoire sans doute d'autant plus flippante. Il n'empêche que vingt-deux ans après, Chromosome 6 pose encore beaucoup de questions éthiques... ce que les praticiens du livre ne se posent guère au vue des dividendes à en tirer. Toujours le problème des apprentis dieux qui ne voient que le "je peux le faire", sans trop s'interroger sur "est-ce que j'ai le droit de le faire?" À noter malgré tout que le généticien de génie à l'origine de l'idée de base sur laquelle se fonde l'entreprise GenSys a au moins le mérite de se poser des questions... après.
Quel rapport entre ce petit coin de Guinée Équatoriale et nos légistes de New-York? Un mort, bien sûr! Pour le reste, à vous d'empoigner ce roman et de découvrir tous les ressorts de cette passionnante et inquiétante intrigue. Malgré des personnages qui frisent souvent trop la caricature et des dialogues moyens, le livre reste difficile à reposer une fois entamer.
