Il suffisait de vouloir, il suffisait de savoir, et tout ce qu'elle voudrait se réaliserait.
Elle laissa son regard glisser vers la droite et s’arrêta sur les dagues. Un muscle de sa joue tressauta. Elle porta instantanément sa main sous sa poitrine, où sa cicatrice ondulait. Elle ferma les yeux et prit une profonde bouffée d’air frais. Elle devrait se reprendre.
Alors qu'il remontait lui embrasser la bouche de ses lèvres fiévreuses, Héloïne sentit qu'il abandonnait sa poitrine pour descendre ses doigts jusqu'à sa culotte. Doucement, mais sans aucune hésitation.
Il suffisait de vouloir, il suffisait de savoir, et tout ce qu'elle voudrait se réaliserait.