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3,69

sur 178 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Je reçois cet ouvrage à la bibliothèque et ma foi, il semble intéressant.
Nous retrouvons le thème de la nature qui peut être cruelle dans les montagne, mais aussi, et surtout, la cruauté humaine..

En 1985, une avalanche s'est abattue sur trois jeunes gens, mais ce n'est pas ce qui les a tué. On les a retrouvé mutilés, coupés en plusieurs morceaux. Ce drame a fortement touché la petite communauté des Dolomites, et notamment Werner, le père d'Annelise, mariée à Jeremiah Salinger, un cinéaste spécialisé dans les documentaires. Une fois que Salinger s'intéresse au drame arrivé trente ans auparavant, il n'arrive pas à penser à autre chose ; trop de mystères et de non dits. Même si sa femme s'y oppose, car leur fillette est la priorité, il ne peut s'empêcher de farfouiller.


Une lecture fort addictive car l'auteur prend un malin plaisir à balader son personnage et nous avec ! J'ai beaucoup aimé en tout cas, l'écriture est élégante et limpide, et tout s'emboîte à la perfection.
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J'ai d'abord craint le pire avec un titre pareil. le genre de bouquin accrocheur et qui veut vous donner des sensations fortes à peu de frais?

Ce fut néanmoins une heureuse surprise de se faire entraîner dans les paysages grandioses des Dolomites. Et pour qui craint la montagne et ses déchaînements météo cataclysmiques, la toile de fond est grandiose pour un fait divers meurtrier. Sans compter que l'histoire du Haut Adige/Sud Tyrol est en soi déjà complexe avec sa double identité autrichienne et italienne.

Le décor est donc planté: après une tempête mémorable, trois jeunes randonneurs d'un village isolé sont retrouvés dépecés dans la gorge du Bletterbach. Meurtre jamais élucidé, blessure enfouie mais jamais cicatrisée pour les habitants de la région.

Il faut être patient, cela tourne parfois en rond, les personnages passant beaucoup de temps à expliquer combien ils sont obsessionnels, traumatisés par le massacre vieux de 30 ans. Ça a le mérite de bien planter le décor et les mentalités.

La boîte de Pandore va donc être réouverte, on attend d'être secoué, congelé, traumatisé par le souffle glacial de l'hiver, à défaut de suspicion de serial-killer à piolet ou de forces occultes alpestres. Plus thriller psychologique que policier, cette histoire où se mêlent des zestes d'écologie, géologie et société montagnarde fermée maintient le lecteur droit dans les traces de neige, vers une ligne d'arrivée hautement improbable, pour laquelle l'auteur n'a pas craint la surenchère.

On va dire que ça se laisse lire sans déplaisir...

Sélection Policier pour le Grand Prix des lectrices ELLE 2018
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J'ai lu ce roman dans le cadre du Grand Prix des Lectrices de Elle. L'essence du mal est le deuxième policier envoyé dans la sélection de Février et, au vu du titre, je m'attendais à une intrigue effrayante voire satanique. Mais dès les premiers chapitres, cette impression s'est estompée et je me suis retrouvée à lire un policier somme toute classique avec un triple meurtre et un homme obsédé par la recherche de la vérité. Au départ rien ne prédisposait Jeremiah Salinger à s'intéresser à ce fait divers horrible commis trente ans plus tôt puisqu'il est né et a vécu aux Etats-Unis. Il est venu s'installer dans le Tyrol par amour pour sa femme, originaire du coin. Et avec un ami, il a même commencé à filmer le quotidien d'une équipe de secouristes en montagne dans le but d'en faire un documentaire. La montagne est belle, se dit-il, quand il suit les pérégrinations de ces hommes courageux qui partent sauver les imprudents coincés ou perdus dans la nature. Mais la montagne est dangereuse aussi, Jeremiah va l'apprendre à ses dépens lors d'une avalanche qui le laissera diminué. Et surtout la montagne tait ses secrets, le plus monstrueux étant le triple meurtre de ces trois jeunes gens trente ans plus tôt. A partir du moment où Jeremiah en entend parler, il devient obsédé par l'idée de trouver le coupable. le problème c'est que chaque fois qu'il pense approcher une piste, elle se désagrège. Pis, ses recherches dérangent. Qui est-il, lui l'étranger pour oser fouiller dans la vie des locaux ? On a donc là une intrigue solide qui se déroule dans une nature hostile, c'est là l'intérêt de ce roman. La montagne est à elle seule un personnage central, tour à tour accueillante ou oppressante, elle marque vos esprits et reste finalement seule maîtresse de l'histoire. En conclusion je dirai que j'ai bien aimé sans être pour autant enthousiasmée.
Lien : https://labibliothequedeneko..
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En résumé : J'ai passé un agréable moment de lecture avec ce thriller qui se révèle plus que divertissant. L'auteur nous fait suivre ainsi Salinger, un personnage lambda, qui pour se sortir d'un syndrome Post-traumatique, va se plonger dans le mystère de meurtres de Bletterbach. Un récit qui ne cherche ainsi pas la frénésie à tout va et le sanglant, mais qui construit à la fois un héros, une ambiance et un mystère. L'intrigue, même si quelques longueurs se font une ou deux fois ressentir, fonctionne bien que ce soit dans sa notion de mystère que dans sa construction. Certes tout n'est pas parfait, mais il ne manque pas d'attrait. L'image de fond que construit l'auteur s'avère très prenante que ce soit dans la représentation de ce petit village montagnard, comme dans l'ambiance qu'il met à la place à la fois vaste, sauvage et aussi hostile, froid, oppressant qui colle parfaitement au récit. le héros principal est intéressant à suivre et à découvrir à travers son évolution, nous présentant un protagoniste complexe. Ce qui est dommage c'est que les personnages qui gravitent autour de lui manquent là parfois de profondeur et certains paraissant n'être là que pour les bienfaits de l'intrigue. Alors après, c'est vrai, l'auteur abuse un peu trop des dialogues et le dernier chapitre m'a paru trop en faire en terme de révélations et tension, n'apportant pas obligatoirement grand-chose, mais je me suis quand même laissé porté par ce récit divertissant, le tout porté par une plume simple, efficace et entraînante.

Retrouvez la chronique complète sur le blog.
Lien : http://www.blog-o-livre.com/..
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Je suis une grenouille.
C'est ce que je me suis dit tout au long de ma lecture.

Vous connaissez la fable de la grenouille ?
« Mettez une grenouille dans une casserole d'eau froide, placez la casserole sur une flamme et faites chauffer progressivement. La grenouille s'habitue tout doucement à la montée en température, il ne lui vient pas à l'idée de sortir de la casserole et elle finit ébouillantée ».

Et bien, c'est exactement ce qui m'est arrivé. J'ai plongé dans « L'essence du mal » sans méfiance.

Au début, l'histoire m'a semblé banale. Je ne trouvais pas de raison spéciale de rester mais pas non plus de raison particulière d'abandonner ma lecture. Luca D'Andrea se révélait être un bon conteur, l'histoire se mettait en place petit à petit : Jeremiah Salinger, le personnage principal, nous racontait sa vie de réalisateur de documentaires et parlait beaucoup de sa petite famille. En plus, leur vie dans un petit village de montagne m'intéressait, l'écriture était soignée mais sans être exceptionnelle.

Puis j'ai senti la température monter légèrement après 150 pages : un petit coup de chaud de temps en temps. Attention … il me semble que le cuistot ajoute des épices … je ne vois pas encore où il veut en venir mais c'est intriguant.

Ensuite, je ne sais pas pourquoi, j'ai commencé à faire des cauchemars, à rêver de massacre en montagne, de la Bête, du Krampus, de secrets de village, d'omerta.

J'ai repris courageusement ma lecture, parce qu'après tout, c'était loin d'être un livre d'horreur, je baignais dans une douce chaleur, si je puis dire, au milieu de la vallée du Bletterbach dans le Tyrol du Sud.

Après 250 pages, j'avais vraiment chaud mais … je ne voulais plus partir.
Vous devinez donc comment tout cela s'est terminé : à la fin … j'étais cuite !
Et je ne peux toujours pas vous expliquer pourquoi je n'ai pas sauté hors de la casserole.

Si ! J'ai bien une théorie … Luca d'Andrea fait dans la haute gastronomie. Pour un premier polar, c'est extrêmement bien ficelé. 450 pages de montée en température lente et progressive. Une recette purement italienne, en quelque sorte, un tiramisu en fines couches délicates, loin des fast-food américains ou du saumon mariné scandinave.

Mais ce n'est que mon humble coassement. Alors, si vous aimez expérimenter de nouvelles saveurs, passez à table.

Lien : https://belettedusud.wixsite..
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Pour un premier roman, ce livre est un coup de maître ! Chaussez vos bottes et couvrez-vous bien, l'Essence du Mal nous entraîne dans une région hostile du Tyrol Sud, en Italie, au coeur du massif des Dolomites, plus précisément dans la vallée du Bletterbach, un endroit considéré comme maudit par les habitants du coin tant les disparitions inexpliquées de bergers, de bûcherons sont nombreuses…

Jérémiah Salinger, réalisateur new-yorkais de documentaires en recherche d'idées pour de futurs projets y séjourne lors d'une année sabbatique avec son épouse Anne-Lise, originaire de la région, et Clara leur fille de 5 ans. Alors qu'il accompagne en intervention une équipe de sauveteurs alpins, Jérémiah assiste à un accident d »hélicoptère où meurent plusieurs personnes. Coincé dans une crevasse, il vit des heures de panique absolue, en proie aux peurs les plus ancestrales avant d'être enfin secouru. Traumatisé par l'événement, il peine à reprendre pied mais peut compter sur le soutien de sa famille. Moins sur les habitants du petit village de Siebenhoch où ils séjournent : des montagnards chevronnés qui se méfient des étrangers et n'aiment guère que l'on vienne fouiller dans leurs affaires. C'est pourtant ce que Jérémiah va s'empresser de faire lorsqu'il entend parler d'une étrange affaire survenue en 1985: le massacre en pleine montagne de 3 enfants du pays : Evi, une jeune géologue prometteuse, son frère Markus, et son fiancé Kurt. le poids de cette tragédie non élucidée pèse encore aujourd'hui sur la communauté de Siebenhoch. Intrigué par ce drame, puis rapidement obsédé par son enquête, Jérémiah met tout en oeuvre pour approcher la vérité. Mais celle-ci, enfouie depuis si longtemps au coeur des glaciers, doit-elle être révélée ?

L'essence du Mal est le récit puissant et douloureux, écrit à la première personne, d'une quête déraisonnée, instinctive, menée envers et contre tous, par Jérémiah Salinger. Dans un style épuré, subtil et vif, Luca d'Andrea parvient à nous offrir une écriture très visuelle, suggestive, ce qui, à mon sens, est une prouesse. le thème de la culpabilité est récurrent dans ce roman, jusque dans la figure du Krampus, le Diable de Noël, un anti Saint-Nicolas ou notre Père Fouettard, dont la légende est célébrée début décembre dans les régions du Tyrol. Certains passages procurent de véritables sueurs froides, et les fausses pistes se succèdent, sans perdre le lecteur, jusqu'au dénouement final, imprévisible, qui nous rappelle toutefois qu'indépendamment des hommes, la Montagne a ses propres lois, et que l'homme, aussi mauvais soit-il, est bien peu de chose à côté d'elle.

Une bonne lecture, agréable et addictive, dépaysante à lire en hiver au coin du feu… et peut-être entendre le cri de la Bête au milieu du silence ?

Lien : https://loeilnoir.wordpress...
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Ce titre me faisait de l'oeil depuis un sacré bon moment (pour être complètement honnête, depuis sa sortie !). Je l'ai dévoré en quelques jours car L'essence du mal est un thriller puissant et hautement addictif dont l'introduction colle tout simplement des frissons :
La Bête voulait jouer avec moi. Elle me laissa vivre. La Bête murmurait maintenant : « Tu resteras avec moi pour toujours, pour toujours... »
Elle ne mentait pas.
Une partie de moi est encore là-bas.
Mais, comme aurait dit ma fille Clara en souriant, ce n'était pas le trésor au pied de l'arc-en-ciel. Ce n'était pas la fin de mon histoire. Au contraire.
Ce n'était que la genèse.
Six lettres : « la Bête »
Six lettres : « genèse ». Exactement comme : « effroi ».

Tout commence quand Salinger est englouti par le blanc, dans le massif des Dolomites dans le Tyrol Italien. Ou peut-être que tout commence en 85, quand la forêt de Bletterbach devient le lieu d'un massacre. Cependant, « il ne s'agit pas seulement de l'année 1985 et du massacre du Bletterbach. Ni d'Evi, Kurt et Markus, ou encore de Salinger, Annelise et Clara. Tout est lié »
Salinger est un américain, scénariste de documentaires et reportages à succès, réalisé par son fidèle associé Mike. Alors qu'il est en Italie, pays dont sa femme est originaire, dans le village de son enfance Siebenhoch, afin de faire des repérages pour leur prochaine série documentaire, Salinger est victime d'un accident qui va le laisser diminué physiquement et psychologiquement.
Pour se remettre – et se prouver que son cerveau fonctionne toujours – il va se mettre à gratter. A gratter frénétiquement la plus petite chose qui pourrait le simuler. Et il va gratter autour du Bletterbach, dans ce lieu millénaire où un massacre a eu lieu, où quelque chose rôde... sauf qu'à Siebenhoch, son enquête ne va pas plaire à tout le monde.
L'essence du mal est un excellent thriller que j'ai adoré et qui se déroule dans les Dolomites, dans une vallée voisine de celle dont ma famille est originaire donc c'était très exaltant de découvrir cette région, même si c'était sous un aspect plutôt noir. J'ai vraiment tout aimé dans ce livre. Il y a une enquête sur un terrible massacre, un héros en proie à des démons (six lettres : la Bête), des personnages secondaires vraiment intéressants, notamment Werner, Max, Evi et Kurt, Annelise et Clara... il y a de la tension, de la peur, des orages, beaucoup d'émotions. J'ai aimé le couple formé par Annelise et Salinger, très réaliste ainsi que les relations père/fille aussi bien entre Clara et Salinger qu'entre Annelise et Werner. L'écriture est prenante, les chapitres sont courts et défilent à toute vitesse, il y a peut-être quelques passages un peu plus longs mais ils ne m'ont pas dérangé, me permettant au contraire de souffler un peu. Les Dolomites offrent un cadre magnifique à ce thriller, alourdissant l'atmosphère et la rendant plus menaçante et dangereuse.
Lien : http://revoir1printemps.cana..
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L'Essence du mal...un premier roman qui ambitionne de marier ni plus ni moins la grande tradition de l'enquête "cold case" à un contexte de survival sur lequel plane une tension indicible qui n'est pas sans évoquer un certain...Lovecraft (toutes proportions gardées)!

Que l'on soit clairs: bien qu'il flirte souvent avec le surnaturel anxiogène (du crime abominable à donner la chair de poule aux lecteurs les plus endurcis à la superbe personnification des montagnes transformées en entités malveillantes cachant un potentiel repaire de monstres démoniaques), le roman ne fait qu'en capturer l'esprit pour enrichir une intrigue captivante où la splendide plume de Luca D'Andrea démêle les rouages d'une sombre tragédie à grand renfort de protagonistes parfaitement nuancés (à commencer par l'anti-héros titillé entre ses responsabilités familiales, un sérieux traumatisme et la soif de reconnaissance médiatique), de secrets bien gardés et d'immersion réaliste dans des cadres atypiques (entre le milieu des sauvetages en montagnes et un petit village baigné de folklores étranges, le lecteur est servi en termes de dépaysement).

Le cocktail est aussi addictif que frais dans le paysage du polar...mais se heurte néanmoins à un double écueil dans son dernier acte. Probablement du fait que l'auteur a placé la barre trop haute dans sa prémisse très riche, la résolution finale apparaît bien en deçà des promesses étalées en amont. "Facile" pour ne pas dire assez simpliste, ce twist aurait cependant pu n'être qu'un (petit) essoufflement facilement pardonnable pour une première publication...sauf que D'Andrea a estimé qu'il fallait en donner pour notre argent. Et de nous servir alors une surenchère tout sauf subtile dans les dernières pages, allant jusqu'à nous infliger un changement de registre assez grossier totalement gratuit. Dommage...et décevant de terminer un ouvrage aussi prometteur sur une telle fausse note.
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"Je plongeai dans les ténèbres qui dévorent les mondes. Je me retrouvai à la dérive dans l'espace profond. Une unique, immense nuit sans fin, d'une blancheur spectrale.
Cinq lettres :" noire". Cinq lettres :"gelée""

Ce thriller a pour toile de fond les Dolomites. La montagne, fascinante et dangereuse où un massacre s'est produit 30 auparavant. Salinger, un réalisateur américain de documentaires, éprouve une grande curiosité pour ce crime non résolu. Son intérêt va vite tourner à l'obsession et il va mener son enquête envers et contre tout.

L'intrigue peine à démarrer. L'auteur prend son temps pour installer le décor, les personnages, l'ambiance. Une ambiance glaciale sublimée par des paysages magnifiques, mais ça traîne en longueur.

Au fil des pages et de l'enquête menée par Salinger, on fait la connaissance des autres personnages. Dans ce petit village montagnard, ils sont mystérieux et taiseux, ils font front autour d'un secret. Il y a aussi les proches du réalisateur, eux sont plus attachants. Sa femme et surtout sa fille de 5 ans, Clara, qui apporte la petite touche de tendresse et adoucit l'atmosphère pesante du livre.
Et puis la montagne, un personnage à part entière, à la fois envoûtante et effrayante.

J'ai adoré les histoires sur les traditions et légendes de la région, les Krampus, la vie des montagnards. Les descriptions aussi sont superbes. La belle plume de l'auteur nous fait découvrir cette belle région du sud-Tyrol et cette ambiance glaçante et glacée.

Salinger va avoir bien du mal dans ses investigations. Les villageois lui tournent le dos, le menacent, lui l'étranger, mais il persiste. Son obsession va mettre en péril son couple, sa famille, sa vie.
Ce livre est une histoire de secrets, de non-dits, de curiosité. Salinger va-t-il réussir à lever le voile sur tous ces mystères et découvrir le fin mot de l'histoire ?

Le style de l'auteur est percutant et efficace. Une fois l'intrigue démarrée ça monte en puissance. Peut-être trop. J'ai trouvé le final un peu excessif, trop dans la surenchère.

En fin de compte une lecture plaisante qui ne m'a pas totalement emballée mais qui ne ma pas déçue non plus.

Lien : https://www.facebook.com/lec..
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Un très bon suspense, ayant tous les bons ingrédients pour faire passer aux amateurs de ce genre littéraire un très bon moment... Une histoire pleine de secrets, de non-dits, d'horreur et de légendes, dans un milieu très secret lui-même, le monde des montagnards, fermé, des personnages attachants et à multiples facettes et pour lier tout cela, un style d'écriture très fluide qui nous mène, haletants car ayant dû subir plusieurs rebondissements, à l'étape ultime du roman!!
J'ai beaucoup apprécié cette lecture même si parfois les tergiversations du personnage principal, Jérémiah, nous fait nous impatienter pour avoir la suite... Mais c'est sûrement que, du coup, l'histoire en est plus appréciable...?
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