Le livre démarre très fort, un peu comme si
Jean-Patrick Manchette était ressuscité ou que Maurice le Dantec était redevenu lui-même : c'est froid comme l'acier d'un fusil de précision au petit matin, hyper réaliste et hyper détaillé comme la description d'une usine clandestine d'enrichissement d'uranium.
Et puis se multiplient les personnages - dont certains sont des clichés ambulants - tant que le lecteur s'y perd, les situations et les dialogues deviennent stéréotypés, et on se lasse, et on finit par abandonner ce pavé en plein milieu avec le sentiment que l'auteur a gâché son talent.
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