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Critique de lecassin


Le médecin malgré lui...
Après un très moyen « Zéro pour la question » qui suivait « L'archipel des Malotrus » et « Béru contre San-Antonio », moyens également, il fallait remonter à « Y'a de l'action » pour trouver quelque chose de convenable. Ça ne pouvait pas durer ou alors je m'étais complètement berluré en prétendant que les années 60 et début 70 étaient la période faste de la série…

Voilà en deuxième trimestre 1968 « Bravo Docteur Béru » : du grand, messieurs dames… du vrai…

D'abord parce qu'il y a Pinaud, et que Pinaud, c'est un indispensable. Premièrement au commissaire, parce qu'il est d'une efficacité redoutable, ensuite à Fréderic Dard et à l'intrigue parce que ça leur fait des possibilités de rebondissements augmentées, comme dirait une réalité qu'on rencontre de nos jours…
Et puis Pinaud, un personnage haut en couleurs surtout quand on lui donne le rôle de réceptionniste, standardiste du Docteur Béru.
Béru, ex interne des Hôpitaux de Paris pour la circonstance. Un médecin conventionné pas conventionnel du tout. Les deux médecins qui l'ont précédé aux cabinets ont été refroidis.
Une sombre affaire de trafic de mégatzornium thermossiphil, un minerai utilisable pour la confection de bombes nucléaires.

Enfin un San-A digne de ce nom. Tout y est ou à peu près : le trio San-A, Béru, Pinaud, et tout le reste de la recette qui nous à donné « Bérurier au sérail » (entre autres) en 64.
Allez ! On sort du ventre mou des années 60 pour en attaquer la fin dans de bonnes conditions ; vivement le prochain : « Viva Bertaga » Où on verra Berthe Bérurier (BB pour les intimes) jouer les vedettes et l'arrivée de Marie-Marie, sa fille…
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