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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Aussitôt le premier tome dévoré, je me lance dans le second ! le verrou du fleuve est la suite des aventures de Mériane. Ancienne paria devenue messagère du ciel, elle se retrouve investie de la mission sacrée de protéger le Royaume. En prime, elle peut entendre Wer, ce dont elle se serait bien passé.

Une fois de plus, Lionel Davoust me convainc. le roman est mené tambour battant après l'installation des personnages et des forces en présence. L'aventure prend une tonalité bien plus sombre, car la grande majorité prend conscience de la gravité de la situation. Car oui, c'est véritablement désespéré et on a envie de taper du poing sur la table pour dire à tout ce beau monde qu'il serait temps de prendre les bonnes décisions.

La pauvre Mériane continue de se faire malmener et gagne en maturité. Elle semble moins impulsive que dans le premier tome et prend conscience que, parfois, modérer ses propos est la meilleure solution. Même quand la personne en face de vous est un crétin fini. Léopol est toujours aux côtés de Mériane. Leur duo est moins percutant, notamment car il rumine pas mal dans ce tome et cherche moins à se mettre en avant.

J'ai trouvé dommage que Chunsène soit également moins présente le long du roman. J'aurais aimé avoir plus d'aperçus de sa façon d'interagir avec les autres personnages de Rhovelle, elle qui est si différente. J'aime beaucoup le mystère entretenu autour de la belle Mange-doigts, qui perd un peu de son côté Mary-Sue providentielle pour devenir un personnage plus nuancé. Quant à Izara, disons que j'ai un peu de mal de voir où ses décisions vont la mener.

En parlant d'Izara, la politique prend moins de place dans ce tome. C'était un reproche que je faisais au premier titre de la saga, dont les parties politiques avaient tendance à ralentir l'action et causait quelques longueurs. Ici, le roman est nerveux et plein d'action, ce qui se justifie par l'urgence de la situation. [spoiler]La forteresse qui protège l'ensemble du Royaume est sur le point de céder, que diable ![/spoiler]

L'écriture est simple et va droit au but. La mise en scène de certains combats est très claire et nous offre des moments très prenants. Lionel Davoust ne lésine pas pas sur les effets gore pour nous faire comprendre à quel point les antagonistes sont terribles et cruels. Si l'histoire semble toujours manichéenne, on se méfie un peu plus de Wer qui n'est pas toujours très transparent.

Autre détail, j'ai trouvé que ce tome ne faisait pas beaucoup avancer l'histoire. le nombre de pages était en plus moins important que le tome 1, ce qui était assez surprenant, le contraire étant plus la norme. Mystère résolu : la trilogie s'est transformée en tétralogie. Plus de plaisir ? Plus d'attente ? Je l'ignore pour le moment.

Un très bon second tome qui souffre de quelques défauts, mais un coup de coeur pour cette saga qui se forme ! Les personnages évoluent chacun à leur manière, l'écriture est toujours fluide et convaincante. L'action est très présente et offre des moments très prenants. Certains enjeux deviennent plus complexes, ce qui laisse entrevoir de belles évolutions pour la suite.


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Quand on se lance dans le Verrou du Fleuve de Lionel Davoust, il faut se préparer à une descente aux enfers.

On retrouve Mériane, Leopol et Darén à la tête d'une petite armée qui voit ses rangs grossir au fur et à mesure de leur avancée. Après avoir rallié à leur cause le duc de Belnacie et le prince héritier de Rhovelle, ils ont pris la direction de Loered. Cité stratégique du royaume qui est sur le point de céder aux assauts arcaniques des Askalites. L'enjeu est énorme. le Verrou du Fleuve ne doit pas tomber sinon c'est le royaume de Rhovelle tout entier qui en pâtira car plus rien ne pourra arrêter les hordes démoniaques du dieu Aska. Mériane arrivera-t-elle à temps ? Et pourra-t-elle faire la différence et changer la donne de cette situation qui semble si désespérée ?

Dans ce livre, Lionel Davoust se la joue stratège et tacticien dans la mesure où il nous relate minute par minute le siège de Loered. Inspiré du Moyen Âge, l'auteur nous raconte avec beaucoup d'exactitude l'événement. D'ailleurs, il ne nous épargne pas quant à la cruauté des moyens utilisés pour faire plier la volonté des assiégés. La force de frappe de l'ennemi paraît sans faille et pour cause, son énergie lui est insufflée par un dieu, alors les sept murailles de la cité semblent, en comparaison, une bien faible protection pour faire face à cette invasion.

Avec le Verrou du Fleuve, on goûte aux premiers affrontements entre les troupes d'Aska et ceux de Wer. On prend la mesure de la puissance maléfique du dieu déchu. Son armée n'a plus rien d'humaine. La chair et le métal ayant parfaitement fusionnés, ses bataillons sont pour beaucoup constitués de machines qui broient tout sur leur passage. Les descriptions sont ici douloureusement saisissantes. L'effroi et le désespoir transpirent entre ces lignes. le combat semble perdu d'avance et, pourtant, Lionel Davoust distille toujours autant de tension et de suspense dans ce récit, porté par son héraut en jupons, Mériane incarne le dernier espoir de ces hommes et de ces femmes perdus dans la tourmente. Elle est l'ultime lueur dans cette obscurité grandissante que forme l'éternel crépuscule.

Point d'elfes, de fées ou d'orcs, dans ce cycle des Dieux Sauvages, mais une poignée d'hommes et de femmes qui mènent l'aventure tambour battant. Finalement la fantasy de Lionel Davoust est fondée sur une science dont le contrôle semble avoir échappé aux hommes.

L'écriture de cet auteur est mordante et les intrigues sont ambitieuses et pourtant parfaitement bien exécutées. Pour qui a apprécié le premier tome et s'est approprié cet univers, lire la suite relève juste de l'addiction... pour en savoir plus... allez sur Fantasy à la Carte
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Il est assez rare que je lise la suite d'une série aussi vite (habituellement je laisse facilement passer 6 mois avant de m'y replonger) mais les personnages des Dieux Sauvages me manquaient tellement qu'il fallait que je reprenne ma lecture.

A la fin du premier tome, Mériane venait de s'échapper de la prison où on l'avait jugée hérétique et les troupes maléfiques d'Aska faisaient leur entrée en Rhovelle. Si Leopold est maintenant définitivement de son côté, Mériane a encore beaucoup de preuves à faire et doit toujours encore se justifier. Pourtant le temps presse, les Rhovelliens doivent organiser la résistance et personne ne semble vouloir écouter Mériane. Tout va se jouer à Loered, la ville au centre du fleuve, le pilier du royaume. Mais Mériane va-t-elle arriver à temps pour sauver la cité de l'Éternel Crépuscule ?

En un mot, ce deuxième tome est tout simplement épique ! Il n'y a qu'un seul enjeu, qu'une seule bataille durant tout le livre : Loered. Vous allez me dire, mais ça doit faire long, ça doit être lent ; pas du tout ! Car comme le premier tome, la suite est tout aussi complexe, tout aussi réaliste et c'est juste absolument génial et monumental à lire. Il y a toujours plus d'horreurs, de monstruosités engendrées par Aska et les pouvoirs de l'ancien temps commencent petit à petit à se dévoiler.

A part le jeune roi, Erwel, les personnages n'évoluent pas beaucoup dans cette suite. C'est la réputation de Mériane qui enfle et la façon dont les autres la perçoivent qui commence enfin à changer. Mériane est toujours fidèle à elle même, forte et juste et l'on retrouve un Leopold tout aussi dévoué qu'à la fin du premier tome même s'il semble encore perdu. Certains personnages qui évoluaient séparément finissent enfin par se rejoindre.

Mais ce qui m'a le plus marqué dans le Verrou du Fleuve est l'aspect divin et leurs secrets. Wer commence sérieusement à me terroriser alors qu'il est censé être du côté de Mériane. On sent que ce n'est pas une simple guerre du bien contre le mal. Il y a quelques chose de plus derrière tout ça. Aska et Wer entraînent les humains dans leur petite guerre fratricide, et ça en est presque un jeu pour eux. Je sens que dans le prochain tome Mériane va apprendre des choses qui ne vont pas du tout lui faire plaisir.

De nouveaux personnages font leur entrée comme Thormig, le gouverneur-duc de Loered, ou encore Maragal, le chronète qui va suivre Mériane afin de garder une trace de ses aventures. Dans ce deuxième tome on ne retrouve que peu d'échanges entre Wer et Aska dans l' "Ailleurs" mais des passages de ce que je pense être le Livre de Mériane, celui que va écrire Maragal.

Ce deuxième tome est tout aussi génial que le premier, tout aussi grandiose et ambitieux. Je suis amoureuse de l'univers, des personnages et des tournants toujours plus complexes que prennent les événements. Je n'ai juste qu'une envie : me jeter sur le tome trois, maintenant, tout de suite.
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Ce fut un véritable plaisir que de retrouver l'univers d'Evanényre et tous ses personnages. Après un premier tome qui a placé tous les personnages principaux ainsi que les enjeux, nous retrouvons Mériane accompagnée de Léopol et Darén qui part prêter main forte à la ville de Loered avec le jeune souverain Erwel et l'armée de Belnacie. En parallèle, Ganner poursuit son siège de la ville de Loered dans laquelle nous retrouvons le duc Thormig et son chronète Maragal. Ne vous en faites pas, au fil de votre lecture, vous ne serez jamais embrouillé pour savoir qui est qui, d'autant que nous avons un rappel à la fin du livre de l'identité de toutes ces personnes.

J'ai globalement trouvé ce tome plus sombre. Pourtant il y a eu des moments sanglants dans le premier tome mais ici, la guerre a bel et bien étendu son ombre - sous le signe de l'Eternel Crépuscule. On ressent l'impuissance de Mériane, son découragement face à son rôle qui dépasse sa propre personne mais aussi à l'aveuglement et la bêtise des hommes qui refusent de l'écouter et courent à leur perte pour certains. J'avais tellement envie parfois d'aller les secouer et de leur hurler d'aller crever à tous ces misogynes. Mais heureusement, Mériane était plus magnanime que moi ! Mériane est devenue plus posée, plus stratège grâce à Wer qui parle dans sa tête. Elle teste les limites de son rôle de Héraut/Messagère, car non ce n'est pas aussi simple qu'elle (et le lecteur) ne l'imaginait. Elle développe aussi sa compassion et est totalement dévouée à sa cause... sans pour autant épouser totalement celle de Wer. Elle défend ses propres valeurs au risque de s'attirer les foudres de la pourtant toute puissante Eglise. En conclusion, elle reste l'excellente héroïne découverte dans le premier tome et qui est toujours aussi bien croquée dans la couverture.

Mon cher Léopol était plus en retrait dans ce tome, il était plus grognon aussi. Une telle haine couve en lui que ça en est parfois effrayant. Je ne m'en rendais pas forcément compte dans le 1er tome. On découvre ici des weristes à la ferveur extrême, qui vont trouver davantage de raisons de mourir que de vivre ce qui est extrêmement déroutant et à l'exact opposé de ma propre pensée. J'ai peur que les émotions contradictoires qui se heurtent en Léopol ne le poussent à faire des choses regrettables (déjà qu'on a frôlé le sacrifice stupide ici !). Et la mission qui l'attend dans le troisième tome n'est pas pour arranger les choses. Sa dévotion envers Mériane est parfois étouffante comme elle-même le fait remarquer mais j'ai confiance, il a encore 2 tomes pour évoluer mon petit Léopol.

J'ai bien aimé les nouveaux personnages mis en valeur dans ce tome, notamment Thormig le duc de Loered, son chronète Maragal qui est tellement différent des autres weristes (pour ne pas dire Léopol) ou même Kerruÿs. Erwel, comme prévu, prend peu à peu confiance ainsi que la place de meneur qui lui incombe (et qui lui décombe !). Il commet des erreurs mais a l'intelligence et le recul nécessaire pour ne pas les reproduire. Par contre, Izara, l'ancienne reine m'inquiète. Ses décisions risquent de coûter cher dans le futur... c'était très frustrant de la voir ainsi foncer dans le mur. La partie politique est moins développée dans ce tome et c'est pas plus mal car cela nous plonge davantage dans l'action de la guerre.

Curieusement, Juhel m'a manqué ! J'avais apprécié son charisme et son caractère si particulier qui vous donne l'impression que ses actions mauvaises sont tout ce qu'il y a de plus normal et de bienfondé. C'est vraiment un personnage fort et marquant alors j'espère le revoir dans le prochain tome. Nous revoyons par contre Chunsène et Nehyr, pour laquelle j'ai une ou deux hypothèses concernant l'identité. A voir avec la suite !

Donc ce tome était plus sombre, plus pesant, les combats sont désespérés presque sans issue. La foi que réclame Wer se transmet peu à peu au lecteur car face aux monstruosités engrangées par Aska, les chances de survie sont presque inexistantes. Et tout ça pour le caprice de deux dieux. C'est aussi fou que cruel. A la base, les Dieux Sauvages devait être une trilogie mais au final un tome a dû être rajouté pour que l'auteur puisse raconter son histoire telle que prévue. de ce fait, ce deuxième tome aurait dû être plus conséquent et même s'il se passe pas mal d'événements, j'avoue avoir refermé le livre en me disant que la guerre n'avait pas autant progressé que ce à quoi je m'attendais. Cela n'enlève rien à l'intérêt du livre qui reste passionnant du début à la fin. Lionel a ce talent-là.

Au final je me suis régalée, on est pas passé loin du coup de coeur, peut-être est-ce parce que je l'ai lu trop tôt après le premier tome, lequel m'avait emporté dans un tourbillon d'émotions. Peut-être est-ce dû à l'ambiance plus sombre et clairement plus déprimante et angoissante ou au fait que j'imaginais avancer davantage dans l'histoire. Quelques soucis de mise en page (il manque des espaces entre des mots) étaient suffisamment répétés pour m'embêter dans ma lecture.

En tout cas cela a été une excellente lecture, maîtrisée du début à la fin, où encore une fois j'ai vécu et non lu le récit. le plus dur va être d'attendre vraiment un an avant de lire le troisième tome !! C'est presque une punition XD Fan de Fantasy, ne passez pas à côté de ce bijou !

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Encore une fois, ce fut une excellente lecture. La plume de Lionel Davoust est incroyable, on s'y laisse couler instantanément.

L'histoire reprend donc à la fin du tome 1, et tous les enjeux vont tourner autour de la cité pivot du royaume de Rhovelle, Loered, aussi appelée le Verrou du fleuve (vous l'avez ?). Car celle-ci se trouve totalement acculée par l'armée démoniaque d'Aska, et son prophète Ganner, toujours aussi terrifiant. le tome entier se concentre donc sur cette ville au milieu de l'Aÿs et bien sûr, l'importance que va y jouer Mériane, la prophète du dieu Wer.

(Point qui n'a rien à voir, mon correcteur auto me propose de corriger en « LE prophète ». Comme quoi, il y a vraiment un problème. M'enfin, retournons à la critique…)

Ma lecture a pris un certain temps car il faut dire que l'auteur ne nous épargne pas en termes d'horreur et de gore. Les askalites sont absolument terrifiants et dégoutants, l'univers est sombre et angoissant, alors j'avais envie d'autre chose avant de sombrer également ^^ Et j'ai vraiment bien fait de prendre mon temps. Même si le rythme va et vient, comme l'armée sur Loered, le jeu politique et les personnages font de solides pivots à l'histoire. Une fois dedans, impossible d'en ressortir, comme coincée dans les 7 enceintes de la ville, moi aussi assiégée…

Je ne veux en dire trop, lancez-vous aussi dans Les Dieux Sauvages, c'est vraiment cool !
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Le Verrou du fleuve met en scène le siège de Loered, le Verrou du Fleuve, par les armées du dieu Aska, dirigées par Ganner, son Prophète. Lionel Davoust montre le déséquilibre des forces qui s'affrontent en insistant sur la technologie dont disposent Ganner et ses alliés, tout en insistant sur la dimension psychologique de l'affrontement qui se joue entre Wer et Aska, ce que met en évidence Mériane, la Messagère du Ciel, à son arrivée dans la ville, mais aussi l'atmosphère de huis clos.
L'héroïne, malgré la reconnaissance dont elle commence à bénéficier de la part du peuple de Rhovelle, voit sa légitimité contestée à cause du sexisme et du scepticisme des nobles à son égard, ce qui engendre des tragédies lorsqu'elle n'est pas écoutée. Mériane doit également faire face à la construction de sa légende, qui s'opère grâce aux miracles qu'on lui attribue, mais aussi l'écriture de sa chronique par Maragal Dwelen, son chronète.
Ce deuxième tome des Dieux Sauvages montre également l'arrivée de Néhyr et Chunsène à Loered, ce qui va ajouter des enjeux et des mystères à l'intrigue, puisque l'archère dispose de connaissances avancées sur la technologie de l'Empire, et semble être connue d'Aska comme de Wer, qui la considèrent comme une ennemie.
Si vous aviez aimé La Messagère du Ciel, je ne peux que vous recommander ce deuxième tome !
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On retrouve Mériane dans la suite de ces (més)aventures face à l'autorité de l'église de Wer dans sa grande mission. A la tête d'une armée, elle a décidé d'aller aider la ville de Loered, le "Verrou du Fleuve", à tenir face à l'armée de Ganner, après les destructions de l'Ost Royal et de l'armée Magnécienne.
Mais face aux armes démentes que le démon Aska fournit à ses hordes, comment peuvent-ils lutter efficacement et tenir alors que les murailles tombent une à une ?
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Globalement, j'ai préféré ce tome au premier. Plus sombre, plus épique, avec des personnages qui évoluent, qui doutent tout en faisant de leur mieux, des antagonistes efficaces et des « gentils » qui laissent un peu planer la suspicion quant à leurs réelles motivations. Un rythme aussi plus fluide, plus efficace, avec peu de temps morts. du coup, hâte de lire le tome 3 😀
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On retrouve Mériane à la cour du duc de Belnacie, où elle n'a enfin plus à faire preuve de sa légitimité en tant que Messagère de Wer. Depuis la bataille de Doélic elle a enfin toute l'écoute du duc et d'Erwel qui, depuis qu'Izara a délaissé la régence du royaume, est techniquement le souverain de Rhovelle. Elle les informe qu'Aska a massé toutes ses troupes au nord de Loered et s'apprête à prendre d'assaut la forteresse. Ils doivent donc aller prêter main forte au duc Thormig de Loered.

Thormig que l'on suit en parallèle, avec ses généraux, ses espions, qui luttent becs et ongles contre les assauts des forces démoniaques menées par Ganner. Il y a sept enceintes concentriques qui protègent la ville de Loered installée au beau milieu du fleuve Aÿs. La bataille fait rage, malgré une inégalité des forces en présence. Et elle va durer les deux tiers du livre, le temps que Mériane et sa troupe rallient Loered. Et Thormig de répéter en y croyant de moins en moins : "Le Verrou tiendra !"

La suite sur le blog ;)
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