Beau texte, au sens de l'écriture élégante et fluide, mais - malheureusement pour moi, sans doute - après la force d'un "
Ténèbre" de
Paul Kawczak ou "
La femme qui valait trois milliards" de
Boris Dokmak, sur une atmosphère et un cadre presque similaire, ne peut que me laisser sur ma fin.
Et puis convoquer, en quatrième de couverture, le Conrad de "Au coeur des
ténèbres" et l'univers de
H.P. Lovecraft dans un même récit, c'est nécessairement se confronter à une attente difficilement réalisable. J'ai pourtant été très touché par la qualité des descriptions, courtes mais efficaces, et par l'étonnant travail de documentation autour de la vie des colons.
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