La guerre, ce n'est pas un complot, c'est un besoin primaire. C'est comme ça et vous n'y pouvez bien ! Au bout d'un temps, les gens ont besoin de se cogner dessus. Ça revient tous les trente ans. Et c'est tout. C'est la nature humaine.
C'est le XXe siècle ! le défia-t-elle. Et l'âme des femmes, c'est comme leurs fesses, on n'a plus besoin des hommes pour s'en occuper.
La grandeur n'existe que par comparaison. Il n'y a pas de beauté sans laideur, pas de grâce sans difformité.
Et je pensais que, décidément, la vie d'un homme ne pèse pas grand-chose. Seule importe la vie des idées. Les faits surviennent, les évènements se produisent, et puis l'instant d'après ils n'existent plus. Mais l'idée qui en reste, elle, est immortelle.
J'ai compris le topo. Je serai le clébard dont vous avez besoin. Coucher, pas bouger. Et quand le japonais appelle j'accours sur mes petites pattes.
Elle fit le geste pour mimer.
"T'as raison Marie faut pas se laisser abattre!
Marie Antoinette, je te prie. Je t'ai déjà dit de m'appeler en entier. J'ai un prénom qui n'aime pas qu'on lui coupe la tête!