À mon père, qui chaque jour de sa vie se rendit au bureau ;
À ma mère, qui n’y alla jamais ;
À tous ceux qui, depuis plus de trois siècles, se sont levés chaque matin pour y aller ;
À mes anciens collègues, qui y sont toujours ;
Aux millions d’humains qui s’y rendent encore ;
À tous ceux qui n’iront plus jamais...
je dédie ce livre (p. 9)