« L’amour le plus fort ne réside pas exclusivement dans la tendresse et la compréhension. Il va parfois se loger bien plus loin, dans la violence et la perte de soi… Dans l’absence. »
Introduction de l'auteure :
« J’aime les histoires des autres. Surtout celles qui appartiennent au passé, et qui résonnent aujourd’hui aux oreilles de ceux qui les ont vécues, avec la même force, la même chaleur qu’il y a cinquante ans. Qu’y a-t-il donc à prendre dans ces vieilles histoires ? Je ne sais pas. Des réponses peut-être. De l’espoir. Quelque chose de fragile, mais de terriblement réconfortant. Je ne sais pas précisément ce que je cherche en fouillant le passé. Mais je sais que ce que j’y trouve n’a pas d’égal. »
« Tu aimais me serrer contre toi, fort contre ton cœur. Tu m’enlaçais pour mieux me contenir… »
« Parce que ça avait toujours été à celui qui serait le plus fort, à celui qui n’aurait pas mal. À celui qui dominerait l’autre. »