Gertrude, la sorcière, et Abel le diablotin font la paire à l'école de sorcellerie. Ils préparent un philtre de laideur. 3 mesures d'urine de lézard et une de poudre de limace... Mais le plus dur est la formule magique... Gertrude se trompe, elle inverse le sortilège et Abel disparaît.
Quelque temps plus tard, son diplôme (quand même) en poche, Gertrude reçoit une lettre d'amour joliment tournée et sentant la violette. Pouah, beurk... se dit Gertrude, mais intriguée elle se rend au rendez-vous... le reste appartient à l'histoire...
Enormément de second degré dans cette histoire pour les enfants aimant l'humour, les sorcières et les diablotins. Chez les sorcières, on aime ce qui est moche et crado. Ce qui est baveux et déplacé... Mais l'amour triomphe toujours aussi.
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Gertrude Laverrue et Abel Zébutte sont inséparables depuis l'école monsternelle. Par une horrible journée d'orage, au cours de magie de Mélissa Tanik, Gertrude se trompe et fait ingurgiter à son bien-aimé un philtre qui le fait disparaître à jamais. Elle devient donc une pauvre moche sorcière solitaire qui rêve à son amour perdu : dire qu'il aurait fait un mari idéal, laid, parfumé au souffre et doué pour les gros mots ! Jusqu'au jour où Gertrude reçoit une lettre d'amour, affreusement parfumée à la violette ...
Une histoire rigolote, où les chats noirs et les crapauds grouillent à chaque page, où les parfumes fétides et les mixtures infâmes trouvent leur antidote dans les dessins humoristiques et les couleurs gaies.
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