AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations sur Le Comte de Monte-Cristo, tome 2/2 (184)

Mme Danglars était donc venue, non seulement belle de sa propre beauté, mais encore éblouissante de luxe ; (...).

Chapitre LXXI. Le bal
Commenter  J’apprécie          10
C’était une étrange chose : jamais on ne paraissait faire un pas en avant dans le cœur ou dans l𠆞sprit de cet homme. Ceux qui voulaient, si l’on peut dire cela, forcer le passage de son intimité trouvaient un mur.

Chapitre LXVIII. Un bal d'été
Commenter  J’apprécie          10
Vous ne voyez que le passé, madame, et certes il est sombre. Eh bien, figurez-vous un avenir plus sombre encore, un avenir… affreux certainement… sanglant peutêtre !…(...)
Comment est-il ressuscité, ce passé terrible s’écria Villefort ; comment, du fond de la tombe et du fond de nos cœurs où il dormait, est-il sorti comme un fantôme pour faire pâlir nos joues et rougir nos fronts ?

Chapitre LXVIII. Le cabinet du procureur du roi
Commenter  J’apprécie          10
Si mon front est sévère c𠆞st que bien des malheurs l’ont assombri, si mon cœur s𠆞st pétrifié, c𠆞st afin de pouvoir supporter les chocs qu’il a reçus.

Chapitre LXVIII. Le cabinet du procureur du roi
Commenter  J’apprécie          10
Il est donc vrai que toutes nos actions laissent leurs traces, les unes sombres, les autres lumineuses, dans notre passé ! Il est donc vrai que tous nos pas dans cette vie ressemblent à la marche du reptile sur le sable et font un sillon ! Hélas ! pour beaucoup, ce sillon est celui de leurs larmes !

Chapitre LXVIII. Le cabinet du procureur du roi
Commenter  J’apprécie          10
(...) je resterai immuable dans ma volonté, et le monde appréciera de quel côté était la saine raison.

Chapitre LXI. Le télégraphe
Commenter  J’apprécie          10
À l𠆚ide du regard ; ses yeux ont continué de vivre, et vous voyez, ils tuent.

Chapitre LXI. Le télégraphe
Commenter  J’apprécie          10
Mais je me blesse surtout de cette disposition du sort, du hasard, de la fatalité, je ne sais comment nommer la puissance qui dirige le coup qui me frappe et qui renverse mes espérances de fortune et détruit peut-être l𠆚venir de ma fille par le caprice d’un vieillard tombé en enfance.

Chapitre LXI. Le télégraphe
Commenter  J’apprécie          10
Que vous faut-il, voyons, monsieur, pour arriver à la parfaite édification de votre conscience ?

Chapitre LX. Le testament
Commenter  J’apprécie          10
Aussi, dans cet œil noir du vieux Noirtier, surmonté d’un sourcil noir, tandis que toute la chevelure, qu’il portait longue et pendante sur les épaules, était blanche ; dans cet œil, comme cela arrive pour tout organe de l’homme exercé aux dépens des autres organes, s’étaient concentrées toute l�tivité, toute l�resse, toute la force, toute l’intelligence, répandues autrefois dans ce corps et dans cet esprit. Certes, le geste du bras, le son de la voix, l𠆚ttitude corps manquaient, mais cet œil puissant suppléait à tout : il commandait avec les yeux ; il remerciait avec les yeux ; c’était un cadavre avec des yeux vivants, et rien n’était plus effrayant parfois que ce visage de marbre au haut duquel s𠆚llumait une colère ou luisait une joie. Trois personnes seulement savaient comprendre ce langage du pauvre paralytique : c’était Villefort, Valentine et le vieux domestique dont nous avons déjà parlé. Mais comme Villefort ne voyait que rarement son père, et, pour ainsi dire, quand il ne pouvait faire autrement ; comme, lorsqu’il le voyait, il ne cherchait pas à lui plaire en le comprenant, tout le bonheur du vieillard reposait en sa petite-fille, et Valentine était parvenue, à force de dévouement, d𠆚mour et de patience, à comprendre du regard toutes les pensées de Noirtier. À ce langage muet ou inintelligible pour tout autre, elle répondait avec toute sa voix, toute sa physionomie, toute son âme, de sorte qu’il s’établissait des dialogues animés entre cette jeune fille et cette prétendue argile, à peu près redevenue poussière, et qui cependant était encore un homme d’un savoir immense, d’une pénétration inouïe et d’une volonté aussi puissante que peut l’être l’âme enfermée dans une matière par laquelle elle a perdu le pouvoir de se faire obéir.

Chapitre LIX. M. Noirtier de Villefort
Commenter  J’apprécie          10






    Lecteurs (15764) Voir plus



    Quiz Voir plus

    Les personnages des Trois Mousquetaires et Vingt ans après

    Sous quel nom connaît-on monsieur du Vallon de Bracieux de Pierrefonds ?

    Athos
    Porthos
    Aramis
    D'Artagnan

    9 questions
    183 lecteurs ont répondu
    Thème : Alexandre DumasCréer un quiz sur ce livre

    {* *}