28 juillet 1976. J’apprends à la radio l’exécution de Christian Ranucci.
Ça me bouleverse. Ça nourrit mon romantisme morbide d’adolescent et je m’engouffre alors dans cette histoire qui me dévore et me terrifie.
Je comprends à ce moment-là qu’être avocat c’est être seul contre tous, c’est aimer l’araignée et l’ortie.