Il s'agit d'un petit livre par son format ( 116 pages) et grand par son sujet (la mort).
Le narrateur apprend de son médecin qu'il lui reste quelques semaines à vivre. Comment vivre ces semaines ?
Après avoir communiqué cette triste nouvelle à son épouse puis à ses enfants, il décide de profiter du temps qui lui reste pour remercier ceux et celles qui lui ont apporté quelque chose dans sa vie : en leur rendant visite, tant que son état de santé le lui permet, ou en leur écrivant.
Il sera très entouré non seulement par son épouse mais aussi par ses filles et ses amis ; il sera en contact par "skype" avec son fils pour parler rugby , leur passion commune.
Toutefois, Ce livre m'a un peu déconcertée avec l'alternance de passages très émouvants et d'autres assez agaçants (les listes de noms). J'ajouterai qu'en tant que lectrice et acheteuse de livres, j'ai beaucoup apprécié le passage de la lettre, prêtée à
Bernard Pivot, sur l'invasion des livres dans une maison, c'est du vécu !
Lorsque je rédige une critique après avoir lu un livre, j'aime me replonger dans le texte. La lecture du livre de
Jacques-Olivier Durand terminée, il n'est plus accessible sur tablette, c'est dommage !
Merci au Diable Vauvert et Babélio de m'avoir sélectionner pour la lecture de ce livre.