Citations sur Les Meurtres zen, tome 1 : Des meurtres qui font du b.. (100)
Il existe deux types de douleur : celle de la plaie et celle du couteau qu'on remue dans la plaie. On ne peut pas effacer une plaie. Mais si on renonce à remettre sans cesse le couteau dans la plaie, elle guérira beaucoup plus vite.
N'accordez de place dans votre vie qu'à ce qui vous fait du bien. Comme des nuages, vous pouvez laisser filer en toute tranquillité au loin des personnes, objets, pensées et conversations qui vous pèsent. À tout instant, vous pouvez vous séparer de tout ce qui ne vous fait pas avancer, vous encombre ou ne vous aide pas. Grâce à cette forme de pleine conscience minimaliste, vous constaterez rapidement que vous pouvez vous suffire à vous-même.
C'est si merveilleux quand les enfants nous rappellent que les belles choses qui nous entourent ne vont pas de soi et qu'il faut s'en réjouir.
Ce n'est pas ce qui a pu se produire qui nous inquiète. Ce n'est qu'après en avoir jugé que cela nous fait peur. Aucun évènement n'est bon ou mauvais en soi.
Ce ne sont pas les évènements qui nous inquiètent mais notre vision de ces évènements.
Ne focalisez pas votre attention sur ce que vous dit votre interlocuteur mais sur ce qu'il veut dire. Ce que vous entendez n'est que l'écho de son monde intérieur. Si vous ressentez ce qu'il dit au lieu de l'entendre, plus d'une offense se révèlera un appel à l'aide.
Les ilots de temps des périodes délimitées dans lesquelles vous ne faites que ce qui vous fait du bien et rien d'autres.
Le souffle relie le corps à l'âme.
Si vous attendez devant une porte, vous attendez devant une porte. Si vous vous disputez avec votre femme, vous vous disputez avec elle. C’est ce qu’on appelle la pleine conscience. Si vous attendez devant une porte et que vous en profitez pour vous disputer mentalement avec votre femme, ce n’est plus de la pleine conscience. C’est juste idiot.
La pleine conscience peut tuer des gens et casser des nez. Et faire fondre des icebergs.