Ce qui est formidable avec une revue savante comme "Espèces", c'est que l'autodidacte curieux de tout* (ou presque) que je suis, trouve toujours matière à apprendre en s'étonnant...
Vous le saviez vous que le nom du "gorille" vient d'une erreur de traduction et d'interprétation d'un manuscrit byzantin ? Et bien moi non !
Et ce n'est pas tout ; dans ce numéro, on apprendra aussi que les seiches communiquent par signaux colorés, que le chant du coucou annonciateur du printemps fut un jour confondu par un savant anglais avec le chant d'un ouvrier maçon, qu'il existe des cachalots pigmées (450 kilos seulement), qu'
Alfred Jarry se passionna pour la paléontolgie et encore d'autres merveilles !
Voilà pourquoi depuis que j'ai découvert cette publication, je m'emploie à en faire la promotion.
Si quelques'unes des personnes qui me liront sont tentées par "Espèces", elles trouveront la liste des points de vente proches de chez elles sur le site especes.org.
*C'est un pléonasme, non ?