On ne doit recourir à la violence qu’en dernier ressort. Le véritable pouvoir permet de ne pas s’abaisser à une telle vulgarité.
On ne choisit pas ce que les gens pensent de nous.
Le bas-ventre à ses raisons que la raison ne connaît pas.
Quand ton cœur appartient au Wyld, il te faut un esprit sage pour tempérer ta fougue et un bras puissant pour te défendre.
Les légendes, c’est comme les pierres qui roulent : une fois qu’elles sont lancées, mieux vaut ne pas traîner sur leur chemin.
On ne peut pas être le vilain d’une histoire sans être le héros d’une autre.
Les histoires dépendent souvent de la personne qui les raconte.
- Écoute, c’est notre faute. Je le sais. Ta mère et moi t’avons raconté trop d’histoires. On t’a donné l’impression que le boulot de mercenaire était merveilleux. Il ne l’est pas. C’est dur, tu sais. Des routes interminables, des nuits solitaires. Tu passes la moitié de ton temps trempé comme une soupe et tu as toujours froid. Tu affrontes des créatures horribles dans des endroits sinistres et la trouille te noue les tripes à l’idée qu’elles puissent te tuer avant que tu le tues. Ça ne se passe pas comme dans les chansons, Tam. Les mercenaires ne sont pas des héros. Ce sont des tueurs.
Les mensonges, c’est comme des verres d’eau-de-vie. Quand t’es prêt à en avaler un, t’es prêt à en avaler dix.