AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations sur Danser au rythme des saisons (9)

Les Australiens sont très amicaux, aussi avons-nous fait de belles rencontres peu après notre installation. À la fin de la réception, une vive émotion et une profonde tristesse s'emparent de nous et de nos amis, avec lesquels on est désormais lié par une grande affection. Ils se sont autorisés à nous donner un surnom : Beautifull People ! On commence à être habitué aux sobriquets (...). Nos amis vont nous manquer et vice versa. Certains essayent de nous convaincre de demeurer encore à Sydney. Mais ils comprennent aussi que nous ne pouvons pas prolonger nos visas arrivés à expiration. On se console à l'idée de revoir une dizaine d'entre eux, le temps d'un week-end à Paris. Ils feront un périple en Europe au cours de l’été...
Commenter  J’apprécie          71
On ne choisit pas sa famille de sang, je m'étais construite celle du cœur, sélectionnée avec soin, de manière précieuse, consciente que l'amitié n’apparaît pas pour combler un appétit, mais elle surgit quand on rencontre l’être qui rend possible cette relation sublime. Car, l’amitié ne vaut rien si elle n'est présente ni au moment des malheurs ni au moment des bonheurs. De même que la vie ne vaut rien si l'amour n'existe pas et si l'amitié n'est qu'un leurre.
Commenter  J’apprécie          60
L'enfance, qui file à toute vitesse, n'est qu'une petite partie de nos vies, et pourtant, ces premières années nous marquent jusqu'à la fin de nos jours.
Commenter  J’apprécie          40
J'ai aimé l'anglais parlé par les Australiens (...) J'ai aimé l'indulgence des Australiens lorsque je parlais leur langue avec beaucoup d’intonations ; un mélange d'accent camerounais, parisien et peut-être même aussi un peu costaricien. Malgré cela, mes interlocuteurs m’écoutent avec patience et tendresse et me complimentent : « I love your accent ! » Tout le contraire des compatriotes qui s'empressent de relever avec ironie mon french accent (...)
Commenter  J’apprécie          30
Toutes ces nécessités qui nous obligent à aimer nos parents. Parce que l'on doit aimer ses parents, sauf s'ils sont d'une totale cruauté avec leurs enfants. C'est à la naissance de Jane que je compris à quel point on aime son enfant et à quel point cet amour est bien différent de celui qu'on porte à ses parents. Depuis, je pense que l'on ne devient réellement adulte que le jour où l'on pardonne à ses parents d'être aussi imparfaits que le reste des humains et où l'on reconnaît qu'avec leurs limites, ils ont fait de leur mieux.
Commenter  J’apprécie          30
Malheureusement, que de gens tombent follement amoureux et se persuadent au bout d'un certain moment que ce n'était pas la bonne personne, ou qu'elle n'était pas à la hauteur des attentes et des espoirs qu'ils avaient eus. Ils ignorent tout simplement qu'il y a l'amour des premiers temps, et l'amour de la maturité, celui d'après, auquel personne ne songe. En fait, l'amour de la première rencontre n'est qu'une niaiserie à côté de l'amour conjugal.
Commenter  J’apprécie          20
Car l'homme est le même partout. Chaque homme naît, vit et meurt. Chacun aime, souffre, rit et pleure, dans tous les endroits du monde. La différence en fait, ce sont les singularités de chacun, ces particularités qui nous identifient par rapport à l'autre. Elles font de notre existence un condensé d'anecdotes plein de renseignements sur la société, sur la vie de tous les jours.
Commenter  J’apprécie          20
Nous convenons d'un projet d'écriture à quatre mains (...). Après chaque entretien, je passe deux à trois heures à noter dans mon carnet tout ce que j’ai absorbé durant la conversation, essayant de retranscrire nombre de détails tant qu’ils sont encore frais dans ma mémoire. Parfois aussi, elle me transmet ses écrits. Des pages et des pages noircies à l'époque où l'angoisse, la colère et l'insomnie la gardaient éveillée jusqu'à l'aube. L'écriture devenait un exutoire et ça lui faisait beaucoup de bien. Elle éprouvait une sorte de délivrance, comme si elle se libérait d'un fardeau trop lourd à porter.
Commenter  J’apprécie          10
J'ai aimé,
Plein d'émotions à la lecture de ce livre, le récit de la vie de Françoise, personnage fictif ou réel, peu importe, peut représenter le vécu de beaucoup de femmes.
L'auteure est talentueuse et a réussi à me faire voyager en compagnie de son héroïne.
Commenter  J’apprécie          00




    Lecteurs (37) Voir plus



    Quiz Voir plus

    Famille je vous [h]aime

    Complétez le titre du roman de Roy Lewis : Pourquoi j'ai mangé mon _ _ _

    chien
    père
    papy
    bébé

    10 questions
    1431 lecteurs ont répondu
    Thèmes : enfants , familles , familleCréer un quiz sur ce livre

    {* *}