[...] c'est la manière dont [Van Gogh] travaille la matière qui le singularise. Il accentue les reliefs par des empâtements, et il laisse visibles les coups de brosse énergiques, parfois violents, en larges touches nerveuses, comme les traces du couteau qu'il a utilisé pour appliquer en couches épaisses la pâte sur la toile.
(p. 72)
Il soupira et regarda Fanfan droit dans les yeux.
-Voilà, petite demoiselle, vous connaissez mon secret à présent.
-Merci, Berger. Un jour, j'irai la voir, votre forêt ! Promit Fanfan.
Grâce aux arbres, la chaîne de la nature s'est réformée…
(p. 34)