D'habitude, je devine tout de suite ce qui les intéresse. Là, j'étais paumé. Je ne l'imaginais pas barbotant un flacon d'after-shave. Ou un stylo à quatre mines. Ou un clic, clac, merci Kodak pour se tirer le portrait. D'ailleurs, il ne devait pas se passionner pour sa gueule avec les poils blancs de sa barbe mal rasée, son manteau trop large qu'il ouvrait sur une chemise au col élimé et une cravate à pois bleus serrée à l'étrangler.