Le problème c'est la pipe. On s'en fait toute une histoire et puis voilà on la casse.... sa pipe !
C'est dommage...
Voilà ce que je me suis dit en refermant ce livre. C'est dommage y avait du bon tabac dans cette tabatière là. Problème de tirage de cheminée, vertige de petit ramoneur ?
Le sujet , allez disons le mot : l'auteur, se voit marginal...nous le trouvons... très banal.
Banal dans sa frayeur, banal dans sa nonchalance franchouillarde.
Paris a sa province sachez le ! Un lieu où il est de bon ton de non point trop mourir, puisque vivre est une affaire bonne à jeter aux gueux...
Une province où l'on va hardiment, ...avec son fric, tristement, avec sa queue... aux putes.
Pas la pute du luxe, non.... la fille, celle de la race des gueux...
Ah le bourgeois a toujours aimé s'encanailler! Immortelle province.
Une province à la table de laquelle Villon ou bien
Verlaine n'aurait jamais lever leurs vers.
La même province qui mange si avidement le pain que lui tendra toujours Boule de Suif.
Le sujet est revenu de tout... oui mais voilà fallait t il encore avoir l'esprit voyageur et quitter sa province...
« J'aurai du mourir plus tôt ». Voilà donc une belle phrase !
« Si on m'avait dit qu'un jour je laisserai un cadavre derrière moi ».... ! Bon, et bien c'est écrit.
Vapeur « zemmourienne » ou volute fantôme ?
Vous avez dit... second degré ?
Quelle vilaine manie de graduer l'humour comme s'il s'agissait de la crue d'un fleuve...
Au delà de cette limite....On en rirait presque aux larmes.
Dieu comme mon nez doit être très vilain pour ne pas priser cette nico-nique là !
Opération masse critique janvier 2014.
Astrid Shriqui Garain