Pourtant j'aime le pulp et l'exagération en général, mais là, le langage grossier à longueur de pages, l'ésotérisme religieux tourné vers le spectaculaire, la violence à outrance… J'ai fini par ne plus supporter, abandonné à la moitié. Pour moi, la littérature pulp doit savoir jouer sur la nuance, le décalage, l'ironie, bon, peut être l'ironie à la rigueur, mais ici, pas le moindre décalage ni la moindre nuance, surtout dans les dialogues.
Le dessin est plutôt pas mal, la colorisation par contre, vous savez ce que je pense des dégradés numériques, et bien moi aussi je peux être grossier…
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