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Dessinatrice, Léa maîtrise mal ses colères. Un soir, elle abandonne une femme, enfermée dans les toilettes de sa salle de sport, qui sera retrouvée morte le lendemain.
Policier, Rodolphe élève seul son fils Gabin, traumatisé par la mort de sa mère et qui n'a pas prononcé un mot depuis lors. Il est chargé de l'enquête sur la morte de la salle de sport.
Adeline a séduit Rodolphe un soir, mais délaissée depuis, elle a décidé de se venger. Elle n'en est manifestement pas à son coup d'essai.

Le trio d'acteurs principaux est ainsi mis en place, dans un jeu où la violence latente domine et au coeur duquel se trouve Gabin...
Le résultat est un bon thriller, dont l'intrigue et l'aboutissement sont un peu téléphonés, mais qui met en relation des personnages bien campés, dans lesquels on pourrait se reconnaître (à l'exception d'Adeline, évidemment - du moins, je vous le souhaite !)
La narration est bien construite, alternant les points de vue des trois principaux protagonistes, ce qui donne du rythme à la lecture. le livre est écrit simplement, sans grandes fioritures ou effets de style ; il se lit donc facilement.
Encore un bon moment de lecture sans prise de tête...


Lien : http://michelgiraud.fr/2021/..
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Très belle découverte que ce roman de Stéphanie Exbrayat.

L'intrigue, racontée à la troisième personne du singulier entre trois personnages, devient très vite addictive. Léa qui laisse une femme enfermée dans les toilettes car elle ne supporte pas son insolence, Rodolphe en bon capitaine de police qui a en charge l'enquête tout en gérant son fils mutique et Adeline la séduisante jeune femme qui a eu une relation d'un soir avec le dit capitaine. Un mélange des genres pas si étonnant porté par un rythme détonnant.

Suspense machiavélique à souhait, il est difficile de s'arrêter en cours de lecture.

Les bons romans jouant avec des sentiments tel que l'excitation, l'envie, la peur, l'effroi et la joie sont rares. Celui ci est une perle en la matière.

Un grand merci à l'auteure pour ces délicieuses heures passées avec son imagination.
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Léa est très active. Illustratrice de livres pour enfants, elle gagne sa vie grâce à des travaux alimentaires : création de logos et publicité pour des firmes. Mais elle ne désespère pas de voir publiées les aventures de Marcello, un joli petit lapin. Pour garder la forme, elle fréquente un club de sport. Et là, un soir, elle entend un appel au secours. Oui, Léa est gentille et serviable, mais elle ne se laisse pas marcher sur les pieds. Et la femme qui appelle à l'aide est grossière et agressive. Ce qui irrite Léa. C'est pourquoi elle aura affaire à Rodolphe, un policier tiraillé entre les exigences du métier, un petit garçon pas comme les autres et une ex-maîtresse inquiétante.
Que dire à propos du roman de Stéphanie Exbrayat ? J'ai peur de divulgacher et je ne veux pas révéler des éléments que vous aurez plaisir à découvrir quand vous lirez « Colère assassine ».
L'auteure ne nous plonge pas d'emblée dans le coeur de l'histoire. Elle prend son temps pour nous permettre de faire la connaissance des protagonistes. Il y a d'abord Léa. Si on la présente comme colérique, je ne suis pas d'accord. Elle ne se laisse pas faire ? Bien sûr que non. Mais, à mon avis, elle est déjà bien plus patiente que moi. Après une rude journée de travail, la voici enfin assise dans une rame de métro bondée. En face d'elle, un enfant mal éduqué. Non. Je me trompe. Pas éduqué du tout serait plus juste. Il pousse des cris stridents tout en bourrant Léa de coups de pieds si violents qu'elle craint pour ses bas. « Sa mère assise à côté de lui (…) semblait ne rien entendre. Son attention était monopolisée par le clavier d'un téléphone portable. » Tout en martelant les jambes de Léa, le gosse fait « rouler une petite voiture rouge sur la vitre. Dans un bruit de moteur ses lèvres projetaient la morve en pluie. » Mais Léa, bien que bouillonnante, ne réagit toujours pas, jusqu'à ce qu'un « gros postillon glaireux s'écras[ât] sur son écran. » Je ne sais pas quel ange de patience pourrait supporter tout cela sans réagir. Pour ma part, il y a longtemps que j'aurais exterminé cet affreux moutard ! Quant à la mère, elle invective Léa qu'elle traite de « bouffonne » et de « connasse » avant de la menacer physiquement. Si Léa réagit vivement, elle a bien raison !
Puis, il y a Rodolphe. Policier, mais surtout papa seul d'un petit garçon, mutique depuis qu'un drame a endeuillé ses cinq ans.Cela fait des semaines que Rodolphe est harcelé sans relâche par une fille avec laquelle il a eu une brève aventure. Elle devient haineuse, menaçante : « Je sais où t'habites. Je te jure que tu vas le regretter ! »
Et puis, il y a Adeline. Sous son apparence séduisante se cache un démon dont on ferait bien de se méfier. D'emblée, elle apparaît comme très dangereuse et, au fil du récit, se montre de plus en plus terrifiante.
Les chapitres, assez courts, ont tous pour titre le nom d'un des trois personnages et la tension monte jusqu'à atteindre le paroxysme dans les dernières pages.
Stéphanie Exbrayat sait distiller habilement son suspense en l'entrecoupant de scènes décontractées (quelques jours de vacances entre soeurs pour Léa et Bénédicte) ou pleines de douceur (quand Léa raconte les aventures d'un petit lapin à Gabin).
Les personnages ont de l'épaisseur, on peut facilement comprendre leur psychologie et s'identifier à eux (à l'exception, bien évidemment, de la serial killeuse!)
Certes, Léa abandonne une femme en détresse à son triste sort. Mais franchement, qui aurait envie de rester près d'une personne qui lance « c'est pas possible d'être aussi bête ! », « Mais démerdez-vous espèce de conne ! » à quelqu'un qui fait tout ce qui est humainement possible pour l'aider.
Ce qui m'a tout particulièrement touchée, c'est l'affection et la complicité qui lient les deux soeurs. Les miennes sont très importantes pour moi. Et quand Léa s'occupe d'un chien abandonné, cela m'émeut car j'aime beaucoup les animaux. Bien qu'elle dise ne pas avoir d'atomes crochus avec les enfants, elle s'occupe pourtant avec patience et tendresse de Gabin.
Au centre du roman, le danger des non-dits. Plusieurs fois, des mots qu'on ne prononce pas entraîneront des catastrophes.
Ce livre m'a énormément plu (j'ai d'ailleurs immédiatement acheté le premier ouvrage de l'auteure).
Pourtant, j'ai un reproche à lui adresser : il est rempli de fautes d'orthographe qui me perturbent. Par exemple : « pour tout le monde, se serait la stupeur », « dis comme ça... c'est un peu... réducteur. », « un blaid pourri ». Ou de syntaxe : « Elle disait qu'elle n'y avait pas de clé » ou « Elle supputait les hommes préférer les filles imparfaites . »
Si cela ne vous dérange pas, foncez, vous ne le regretterez pas. Et si, comme moi, cela vous dérange, foncez quand même, car l'histoire en vaut la peine et vous tiendra en haleine jusqu'à la dernière page.
Merci à l'Opération Masse critique de Babelio ainsi qu'à la maison d'édition de Borée Marge noire qui m'ont permis de découvrir cette lecture passionnante.
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Je remercie Babelio et les éditions Marge Noire pour l'envoi de « Colère assassine » de Stéphanie EXBRAYAT dans le cadre de la dernière masse critique Mauvais genre.
Cette lecture a été une très bonne surprise ! Outre la couverture magnifique, l'histoire est originale et bien amenée. L'auteure nous ici offre un thriller psychologique addictif à trois voix.
Léa, jeune trentenaire, est une femme-enfant à la sensibilité exacerbée. Elle est tantôt tendre, naïve tantôt intransigeante, impulsive. Elle est tout et son contraire. Son métier d'illustratrice de livres pour enfants la passionne même si elle clame haut et fort qu'elle n'aime pas les enfants. Par-dessus tout, elle déteste l'injustice et l'impolitesse. Parfois, Léa a du mal à gérer ses émotions et peut devenir agressive voire violente. Elle est consciente de ses débordements et se soigne.
Rodolphe est un homme réservé et bienveillant, veuf et père d'un petit garçon mutique prénommé Gabin. Il est policier de son état. Il essaie de conjuguer vie professionnelle et vie personnelle aussi bien que possible.
Adeline est une femme magnifique, blonde avec une silhouette de rêve. Son corps est son outil de travail, elle est escort. Elle ne semble pas heureuse, elle est même assez torturée et très vite nous devinons chez elle un comportement déviant, inquiétant.
Un chapitre, une voix, une histoire, un point de vue. Les trois profils se racontent, se croisent, se confrontent et finissent par se confondre.
Le point de départ de l'intrigue : une femme enfermée dans les toilettes en sous-sol d'une salle de sport est retrouvée morte. L'enquête policière conduite par Rodolphe n'est pas la partie la plus importante/intéressante du roman, selon moi elle aide à mettre en valeur la psychologie des personnages et le triangle infernal d'un jeu cérébral dangereux. le persécuteur, la victime et le sauveur. Attention les rôles ne sont pas prédéfinis et sont interchangeables, c'est là tout l'intérêt du récit !
Les chapitres courts apportent un rythme soutenu à la narration ; le style de l'auteure est fluide et agréable ; les pages se tournent toutes seules. La fin de l'histoire est un peu convenue mais ne gâche en rien la bonne impression laissée par ce roman.
Même si je m'attendais à quelque chose de beaucoup plus sombre, j'ai passé un excellent moment de lecture.
J'ai vu que Stéphanie EXBRAYAT avait publié un autre livre « Personne n'a oublié » en juin dernier, je le lirai avec plaisir.
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Cet excellent thriller à trois voix est une très bonne surprise. Je l'ai dévoré!
L'histoire est originale, addictive et rythmée avec de courts chapitres. Les personnages sont bien construits et leurs émotions bien décrites. Je me suis attachée à Rodolphe, flic , veuf et père de Gabin , mutique depuis la mort de sa maman.
J'au vu arriver de loin certains rebondissements mais ça n'a pas gâché ma lecture. La plume est très agréable , travaillée , fluide .
J'ai passé un excellent moment
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Léa, trentenaire, a du mal à gérer ses émotions, et tout accroc avec autrui la fait rapidement partir en sucette. Mais quand elle prend la décision de laisser une femme en détresse enfermée dans les toilettes d'un sous-sol, elle prend conscience qu'elle a définitivement passé les bornes...

C'est un roman habile et remarquablement ciselé que nous propose Stéphanie Exbrayat. On éprouve tout de suite pour Léa un sentiment double et étrange entre le rejet et l'affection. Elle n'est pas fatalement criminelle, mais potentiellement dangereuse. Et puis, il y a Adeline, séductrice et accrocheuse, dont le comportement pathogène nous dérange et nous inquiète.

Leurs deux profils, leurs deux histoires s'entremêlent en alternance sans que nous puissions faire le lien. Et si le lien, justement, était Rodolphe, ce papa flic confronté au mutisme de son fils depuis la mort de sa mère ?

Ces personnages sont bien construits, et derrière ce qu'ils nous montrent, nous découvrons leurs failles qui leur donnent une profondeur et du relief. Il y a une souffrance qui s'exprime et qui se dirige contre Léa, contre Adeline de manière sournoise et à demi-consciente. Rodolphe oscille entre ces deux femmes si proches et si contraires. Son instinct est mis à mal, préoccupé par l'avenir de Gabin, son jeune garçon.

L'écriture est sensible, revêche et électrique. On est tenu en haleine par un suspense intelligemment mené.

Il y a une véritable synergie dans ce scénario qui nous entraîne vers quelque chose d'affolant, de vengeur, d'extrême. Heureusement, les miracles se produisent là où on ne les attend pas.

Un thriller aux sentiments vifs et incontrôlables que vous allez dévorer !
Lien : https://www.sophiesonge.com/..
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Coup de coeur

Je ne sais même pas par quoi commencer pour expliquer mon ressenti...y a des lectures comme ça que tu adores sans forcément arriver à l'expliquer de manière simple et rationnelle ( c'est le propre du coup de coeur d'ailleurs... ça s'explique pas ^^)

Je dirais que TOUT est réuni pour que ça fonctionne !

Déjà j'ai adoré tous les personnages. Tous très différents et avec leur propre histoire, ce qui les rend attachants ( ou à défaut intéressants).
D'ailleurs le livre est construit avec des chapitres courts qui mettent successivement en lumière chacun d'eux, offrant un excellent rythme à l'intrigue ! Pas un instant je n'ai décroché de ma lecture, y a vraiment pas de temps mort et c'est vraiment une lecture très addictive de la première à la dernière page.

La quatrième de couverture n'est pour moi pas forcément un excellent reflet de ce que contient ce thriller ( et pourtant il me donnait déjà envie tel quel).
Pour moi c'est plus la toile de fond du livre que vraiment le coeur de celui-ci mais je crois bien que justement ça a aussi participé à mon plaisir...car c'était inattendu !

En tout cas j'ai découvert l'auteur grâce à ce roman et je suis très curieuse de lire son premier roman et je suivrai la sortie de ses prochains livres !

Ce qui est sûr c'est que ce livre gagne à être connu, pour moi c'est une franche réussite et je vous le conseille vivement :)
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Colère assassine est un roman sombre et haletant qu'il me tardait de découvrir. Récemment plongé dans l'univers du thriller grâce à l'une des songeuses, je commence à beaucoup aimer cet univers menaçant, haletant et glaçant. Et si j'ai beaucoup aimé m'immerger dans ce roman, j'ai tout de même été un peu déçue par certaines petites coquilles éparpillées ci et là dans le roman....

La chronique complète sur Songe en cliquant sur le lien ;)
Lien : https://songedunenuitdete.co..
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Léa ne supporte pas l‘injustice, Léa ne supporte pas l'incivilité, Léa ... On a compris, la liste de ce qu'elle ne supporte pas et de ce qui la met en rogne est longue comme le bras. Et si elle attendait simplement que cela passe sans réagir violemment ? Mais non, ses réactions sont incontrôlables, quitte à aller à l'affrontement physique avec les risques que cela engendre pour elle et pour autrui.

Cette propension à l'énervement chronique lui joue un mauvais tour lorsque, pleine de bonne volonté, elle vient en aide à une dame coincée dans les toilettes d'une salle de sport et que, fortement agacée par les réflexions désobligeantes de ladite personne, elle l'abandonne à son triste sort, persuadée qu'elle sera rapidement délivrée par quelqu'un d'autre.

C'est par l'intermédiaire d'un policier, Rodolphe, qu'elle apprend que cela s'est très mal terminé pour la naufragée des toilettes pour dames, ce qui la culpabilise fortement et lui fout les chocottes de peur d'être rattrapée par la justice.

Rodolphe est un père meurtri. Suite au décès de son épouse, il doit s'occuper seul de Gabin, son petit garçon plongé dans le mutisme depuis le dramatique événement, l'enfant étant de loin le personnage le plus attachant du livre. Peu à l'aise avec la gent féminine, Rodolphe a de plus eu la malchance de croiser la route d'Adeline, personne rancunière et particulièrement toxique.

S'ensuit une sorte de vaudeville tragique, la présence pesante d'Adeline maintenant un sentiment de malaise, la jeune femme faisant planer une menace diffuse mais angoissante sur Rodolphe, son fils, et Léa que le policier doit interroger dans l'affaire des toilettes fermées de l'extérieur. Les rapports entre le policier et sa principale suspecte deviennent rapidement ambigus, le petit garçon favorisant naturellement le rapprochement dans une relation dont l'équilibre tient parfois à peu de choses : un dessin de lapin à l'oreille cassée, une clé se trouvant là où elle ne devrait pas...

Dans un récit où l'intrigue ne tient pas une place prépondérante – c'est peut-être le principal défaut du roman -, le lecteur trouvera tout de même son compte pour peu qu'il apprécie ce style d'histoire où le thriller psychologique flirte allègrement avec le roman sentimental.
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Bonjour,

Voici un thriller psychologique que je viens vous chroniquer en retour de lecture : "Colère assassine" de Stéphanie Exbrayat aux éditions De Borée.

Léa Delclos est sanguine. Son tempérament colérique lui joue souvent des tours et elle a décidé de consulter un psy pour calmer et contrôler plus sereinement ses pulsions. Un soir, alors qu'elle sort de la salle de sport, elle entend une femme au sous sol crier à l'aide. Elle est enfermée à clé dans les toilettes et ne peut en sortir. Malheureusement, la prisonnière va vite devenir odieuse avec Léa qui décide de la laisser tomber et rentre chez elle.

Le lendemain, la femme est retrouvée morte. le capitaine Rodolphe Chartier enquête sur cette mort mystérieuse à laquelle Léa est mêlée : c'est la dernière personne à être partie de la salle de sport. Depuis, la jeune dessinatrice se sent coupable. Elle aurait pu venir au secours de la victime et empêcher peut-être sa mort.

Parallèlement à toute cette histoire, Adeline Simonin n'a pas supporté de n'avoir été qu'un casse-croute récréatif pour Rodolphe. le jeune homme ne veut pas d'elle dans sa vie, elle va alors se venger de la pire des manière : elle va le harceler et lui empoisonner la vie.

Superbe thriller que ce roman. La galerie des personnages évoluant dans ce contexte sanglant vont voir leurs histoires se regrouper par la force des choses. mais jusqu'à quel point sont-ils impliqués les uns envers les autres ?

Le suspense autour de cette mort, également celui autour de la vengeance de Adeline qui prend forme entretiennent cette ambiance machiavélique tout au long de l'intrigue. Les sentiments exacerbés des personnages nous permettent de ressentir et de vivre au plus près cette histoire. le lecteur s'attache sans problème aux personnages qui sont toutefois assez charismatiques dans leur genre. La palme revient au petit Gabin qui m'a fait fondre.

Les chapitres courts sont nominatifs, chacun commençant par le prénom d'un des trois personnages principaux. Un chapitre, un personnage, une histoire. Les trois s'entrecroisent et se regroupent dans un final magistral.

Il émane de ce roman une énergie qui nous entraine indubitablement vers les profondeurs de la vengeance malsaine et de cette violence humaine qui guide les rancoeurs les plus viles.
Une lecture sous une tension narrative extrême, pleine d'angoisse, vous attend.

Bonne lecture, amis Lecteurs !
Lien : https://lecture-chronique.bl..
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