— Watson, dites-moi, ce trou du cul n'est-il pas en train de leur tirer dessus avec une mitrailleuse ? Comment diable peut-il à la fois piloter cet avion, lui faire faire des loopings et manier une arme qu'on doit d'ordinaire tenir des deux mains pour en tirer un rendement efficace ?
— Fort bien, le sexe faible est votre secteur, dit-il, mais tout de même Watson, à votre âge !
— Les américains ont un proverbe, dis-je. Plus le cerf est vieux, plus ses cornes sont dures.
— Comment le saurais-je, crétin ! Qui s'en soucie ? Quoi qu'il arrive, l'avion va glisser, briser ses ailes, et nous allons périr !
Je m'écriai :
— Nous devons sauter maintenant !
— Quoi ? Déserter ? Mais voyons, Watson, nous sommes Anglais !
— Pardonnez-moi, c'était une parole en l'air. Nous... nous tiendrons jusqu'au bout. Nul slave ne pourra se vanter d'avoir vu un Anglais perdre la face.
Tous les personnages de ce roman sont réels. Toute ressemblance avec des personnages de roman serait absolument fortuite.
Mais malgré cette mise au point de mon esprit, mon visage (et pas seulement lui) s'était ému.
[Watson qui fait le voyeur sur une grande prêtresse qui se promène en tenue d'Eve].
Il [Holmes] était sans doute devenue fou. Il dansait en tournant sur lui-même, s'arrêtant de temps en temps pour se pencher en avant et agiter son postérieur d'une façon parfaitement indécente.