_ Alors nous n'en savons pas beaucoup plus que ce que nous a dit Jack Rictus .
_ C'est exact , admit le moine , mais ne négligez pas le fait que vous savez maintenant qu'il vous a dit la vérité .
Savoir ce qui n'est pas est souvent aussi important que savoir ce qui est . P. 253
Si une femme sert dans un temple, cela fait d’elle un sainte. Si elle sert dans une hutte au fond des bois, c’est une sorcière.
On dit que même un homme bien portant peut s'obliger à mourir, si on lui en laisse le temps.
Quand on côtoie le grand frisson , autant y prendre plaisir .
Le vol , c'est exactement ça , vous savez . Entrer en douce chez quelqu'un en pleine nuit , sans savoir s'il est là debout à vous attendre avec une épée ou un gourdin , prêt à vous faire gicler la cervelle sur un plancher dès que vous allez passer la tête à la fenêtre . Se faire courser dans les rues par la garde . Ce n'est pas drôle , mais c'est tout comme , vous savez ? En fait , c'est excitant . P.251
La sorcière n'avait que faire du bien et du mal , mais même pour elle , il y avait de limites . De plus , elle n'aimait pas tellement les Moredhels , encore moins ceux qui se coupaient la langue en signe de dévotion aux puissances des ténèbres .
P. 23
Si votre père n'avait pas fait une sortie pour nous sauver, nos noms ne seraient plus que des murmures dans le vent d'hier.
[Relax67] Une phrase idiote que l'auteur devait être trop fatigué pour éviter:
Murmandamus: "J'érigerai mon trône sur une montagne faite de leurs cadavres. Alors, mes enfants, nous ferons couler le sang"
[Relax67] Une définition très vraisemblable de l’héroïsme:
Arutha: "Mon père m'a dit une fois qu'un héros n'est qu'une personne qui a trop peur pour faire preuve de bon sens et s'enfuir et qui a réussi d'une manière ou d'une autre à survivre"
un héros n'est qu'une personne qui a eu trop peur pour fait preuve de bon sens et s'enfuir, et qui a réussi d'une manière ou d'une autre à y survivre.
Levez-vous , ô mes enfants ! Levez-vous et tuez !
Dans toute la pièce , les cadavres , agités de soubresauts , commencèrent à bouger . Les soldats retinrent leur souffle et adressèrent une prière à Tih-Onanka , le dieu des soldats .
L'un d'eux , plus rapide que les autres , fit voler la tête du second cadavre qui se relevait . Le corps du décapité trembla et retomba , mais il commença à se relever tandis que la tête articulait des injures muettes .
Comme des poupées grotesques manipulées par un marionnettiste dément , les corps se relevèrent , secoués de spasmes , animés de mouvements saccadés . P. 134