AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations sur Le carrousel funeste, tome 1 : La marque d'Ysengrin (8)

La soirée était prometteuse, il en savait quelque chose, et malgré tout, un sentiment inexplicable ne l'avait pas quitté depuis qu'il avait pénétré l'entrepôt. Le genre de sensation qui se glisse insidieusement le long de votre jambe, vous entre dans le fondement sans demander votre avis et qui, en une fraction de seconde, se mue en peur panique.
Commenter  J’apprécie          30
- C'est quoi cet endroit ? questionna-t-elle un peu perdue.
- Tu connais Alice au Pays des Merveilles ?
- Le dessin animé ?
- Je ne sais pas... l'histoire d'une fille qui traverse un miroir.
- Pourquoi tu me parles de ça ?
- Bienvenue de l'autre côté, Alice !
[...]
- Mais il y a une grosse folle qui la poursuit tout le temps pour la décapiter...
- Eh bien, maintenant tu sais pourquoi il faut respecter les règles.
Commenter  J’apprécie          20
Outre ses suivants habituels, le Grand Chambellan Haussmann et les Découvreurs Royaux Lumières, le Roi était escorté de sa garde personnelle : ses mousquetaires. [...] Ils étaient désormais plus connus sous le nom des Quatre Cavaliers : Peste pour Athos, Famine pour Aramis, Guerre pour Porthos et, bien entendu, Mort pour le commandant des armées d'Artagnan.
Commenter  J’apprécie          20
C'est un véritable talent de réussir à rassurer les gens, mais c'est d'autant plus remarquable lorsqu'on est soi-même plongé dans de profonds tourments intérieurs.
Commenter  J’apprécie          10
Je ne sais Irma, je sens une tempête qui approche et pour la première fois de ma longue existence j'ai l'impression d'être impuissant. Je vois les pièces se déplacer sur l'échiquier, je sens le mat inévitable et je ne sais même pas qui est mon adversaire !
Commenter  J’apprécie          10
De tout temps, la cathédrale avait été un havre de paix, un sanctuaire pour tous ceux que la société rejetait. La majorité des gens avait d'ailleurs du mal à comprendre la différence entre la Cour des Miracles et Notre-Dame. Elle était pourtant évidente. C'était avant tout une question de choix : là où Quasimodo recueillait tous les exclus et les rejetés, Lupin, lui, accueillait les marginaux et les rebelles. Des inadaptés dans les deux cas, mais quand ceux de Lupin rejetaient la société, c'est bien la société qui rejetait ceux de Quasimodo. Il se retrouvait donc seul rempart d'une bande de démunis exclus par une société qui n'avait que faire d'eux.
Commenter  J’apprécie          00
- Vous êtes naturellement un connard ou vous vous forcez pour me faire plaisir ?
Commenter  J’apprécie          00
Et pourtant, malgré le choc que pouvaient susciter ces visions et malgré le barrage mentholé, c'est encore la puanteur qui dégoûta le plus Franco. Un fumet âcre, rance, qui vous frappait en plein ventre et vous coupait le souffle, l'odeur de la mort. Mais pas celle d'une fin douce et apaisante qui vous enlace en pleine nuit pour vous emmener tout doucement, au contraire : le relent d'une mort dure, violente, qui vous saisit à la gorge et vous arrache la tête.
Commenter  J’apprécie          00




    Lecteurs (40) Voir plus




    {* *}