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Critique de domisylzen


D'Alice Ferney j'en avais déjà lu six, que j'avais super bien aimé, mes notes oscillants entre quatre et cinq.
Alors lorsque j'ai croisé le titre de celui-ci sur le portant de la bibliothèque, mon cervelet n'a fait qu'un tour que l'on pourrait traduire en langage simple par : ouaaahhhh grosse gaspation ! Ma main s'en est emparée oubliant ce pour quoi j'étais venu, à savoir récupérer le tome trois de la Fraternité du Panca de Pierre Bordage. Flûte, flûte et rotoflûte !
Je me délectais déjà de son langage poétique chargé de tout plein d'émotions qui, pour ma part, me secoue l'intérieur à chaque fois.
Lors d'un anniversaire Théo reçoit un jeu, un jeu pas comme les autres, basé sur la psychologie et à jouer de préférences avec des personnes de connaissance.
L'histoire se décompose en trois parties :
Dans la première on suit les réflexions et les jugements des divers protagonistes.
La deuxième est sur le ton de la conversation.
Je ne parlerai pas de la troisième ne l'ayant pas lu, contrairement aux critiques littéraires qui lisent les deux premières et écrivent sur la troisième.
Mais revenons à nos moutons.
Au collège je m'étais pris des remarques désobligeantes de la part de mon professeur, un jour de compo, pour avoir employé à plusieurs reprises lors d'un dialogue : dit untel. Là Alice Ferney, lors de cette deuxième partie, en use et en abuse tellement que ça ma saoulé grave. Je ne faisais même plus attention au texte tellement celui-ci en est émaillé : Dit Estelle, dit Bernard, dit Maurice, dit Gontrande, bon je vous les fais pas tous, il y en a au moins vingt par page, et des pages comme ça y en a.
Bon j'ai arrêté vers la page 300 et franchement je suis déçu car j'ai vraiment l'impression d'être passé à côté de quelque chose.
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