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Critique de Marti94
J'ai emprunté à la bibliothèque ce roman policier de Ken Follett dans le cadre d'un challenge Babelio.
Mauvaise pioche.
C'est la première fois que je lis un livre de cet auteur britannique. Sans savoir que c'était son premier roman, je l'ai choisi pour son titre attirant "Le scandale Modigliani" notamment parce que je viens de terminer "La fille à lèvre d'orange" de France Huser qui est un faux journal de Jeanne Hébuterne, la compagne du peintre italien racontant ses derniers mois à Paris.
S'il est vrai que Modigliani avait une vie scandaleuse parce qu'il abusait de l'alcool et du haschich, on est ici dans un autre registre, celui du marché de l'art.
Dee, une jeune étudiante en histoire de l'art découvre qu'il existe une oeuvre perdue de Modigliani qu'il avait peint sous haschich. Déjà, au niveau du postulat, ça ne fonctionne pas très bien dans la mesure où ce n'est pas parce qu'on lui dit qu'il existe que c'est une réalité. Il ne suffit pas d'affirmer une chose pour qu'elle soit vraie.
Bref, elle va se mettre à rechercher ce tableau mais, pas très maline, elle en parle à plusieurs personnes autour d'elle. Peintre, marchand de tableaux, galeriste et même une actrice vont lui faire de la concurrence.
On n'apprend rien sur le peintre ni sur la peinture ce qui est regrettable. C'est plutôt un milieu de requins qui est décrit, celui du commerce de l'art. Ils sont tous plus avides les uns que les autres et je n'ai eu aucune empathie pour ces personnages.
Pour Dee, le seul intérêt de trouver le tableau de Modigliani est d'assurer sa carrière.
Ken Follett a mis un peu de sexe, un peu d'amour, un peu de suspense, un peu de dépaysement, très peu d'histoire de l'art et beaucoup de manigances pour épater la galerie.
Ce n'est pas mal écrit mais sans intérêt.
Challenge XXème siècle 2021
Challenge Multi-défis 2021
Mauvaise pioche.
C'est la première fois que je lis un livre de cet auteur britannique. Sans savoir que c'était son premier roman, je l'ai choisi pour son titre attirant "Le scandale Modigliani" notamment parce que je viens de terminer "La fille à lèvre d'orange" de France Huser qui est un faux journal de Jeanne Hébuterne, la compagne du peintre italien racontant ses derniers mois à Paris.
S'il est vrai que Modigliani avait une vie scandaleuse parce qu'il abusait de l'alcool et du haschich, on est ici dans un autre registre, celui du marché de l'art.
Dee, une jeune étudiante en histoire de l'art découvre qu'il existe une oeuvre perdue de Modigliani qu'il avait peint sous haschich. Déjà, au niveau du postulat, ça ne fonctionne pas très bien dans la mesure où ce n'est pas parce qu'on lui dit qu'il existe que c'est une réalité. Il ne suffit pas d'affirmer une chose pour qu'elle soit vraie.
Bref, elle va se mettre à rechercher ce tableau mais, pas très maline, elle en parle à plusieurs personnes autour d'elle. Peintre, marchand de tableaux, galeriste et même une actrice vont lui faire de la concurrence.
On n'apprend rien sur le peintre ni sur la peinture ce qui est regrettable. C'est plutôt un milieu de requins qui est décrit, celui du commerce de l'art. Ils sont tous plus avides les uns que les autres et je n'ai eu aucune empathie pour ces personnages.
Pour Dee, le seul intérêt de trouver le tableau de Modigliani est d'assurer sa carrière.
Ken Follett a mis un peu de sexe, un peu d'amour, un peu de suspense, un peu de dépaysement, très peu d'histoire de l'art et beaucoup de manigances pour épater la galerie.
Ce n'est pas mal écrit mais sans intérêt.
Challenge XXème siècle 2021
Challenge Multi-défis 2021
