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Critique de doyoulikefrogs
Vraisemblablement il semble que je n'aime pas le style de Ken Follett. I'm sorry Ken... J'ai pourtant essayé puisque j'ai attaqué les fameux Piliers et aussi La Marque de Windfield (mauvais!). Mais voilà celui-là me plaisait d'autant plus qu'il parlait d'une chose que j'aime par-dessus tout : l'art. Et en plus de l'aspect artistique de l'oeuvre, le roman traite de Modigliani, artiste qui pour des raisins personnelles m'est très cher. Alors j'attaquais le roman avec ... entrain.
Au début, oui, parce qu'il y a toujours un début, je me suis ennuyée. Direct, vlan, ennui mortel. Ça commence comme ça : une nana brillante et intelligente et belle et sexy et avec un super petit-ami et en plus étudiante en histoire de l'art, et douée dans tout ça, s'oriente vers un sujet de thèse sur "la relation entre la drogue et la créativité artistique,
". Stop. J'aurais fait un sujet de thèse semblable, personnellement ;) c'est plutôt amusant. C'est comme faire une thèse sur les effets de la drogue sur la musique rock and roll.
Ensuite elle va découvrir l'existence d'un Modigliani perdu. Ça me rappelle l'émission de la BBC "Fake or Fortune" que j'adore et qui parle de peintures retrouvées fausses ou véritables...
On se retrouve plongé dans le monde de l'art alors qu'elle tente de trouver le tableau, l'auteur impose des personnages tels des peintres, talentueux et faussaires, un peu rebelles, d'autres qui préfèrent la couleur de l'argent. .. des négociants d'art peu scrupuleux et d'autres plus jeunes qui galèrent hé oui !
Ken Follett parvient avec brio à parler d'art et nous emporte vraiment avec lui dans ce dédale de ...flou artistique.
Le seul problème c'est qu'il faut vraiment avancer dans le roman pour parvenir à un moment où l'intrigue est véritablement palpitante... outre les "méchants" utiles à un thriller dans le monde de l'art, l'arrivée en Italie par exemple vers la moitié du bouquin est ratée je ne suis pas parvenue à entrer dans ce pays où l'art est si important comme à Paris.
Déçue par Follett encore une fois. C'était pas folle(ichon ).... désolée , allez , je vais admirer mon plafond. :)
Au début, oui, parce qu'il y a toujours un début, je me suis ennuyée. Direct, vlan, ennui mortel. Ça commence comme ça : une nana brillante et intelligente et belle et sexy et avec un super petit-ami et en plus étudiante en histoire de l'art, et douée dans tout ça, s'oriente vers un sujet de thèse sur "la relation entre la drogue et la créativité artistique,
". Stop. J'aurais fait un sujet de thèse semblable, personnellement ;) c'est plutôt amusant. C'est comme faire une thèse sur les effets de la drogue sur la musique rock and roll.
Ensuite elle va découvrir l'existence d'un Modigliani perdu. Ça me rappelle l'émission de la BBC "Fake or Fortune" que j'adore et qui parle de peintures retrouvées fausses ou véritables...
On se retrouve plongé dans le monde de l'art alors qu'elle tente de trouver le tableau, l'auteur impose des personnages tels des peintres, talentueux et faussaires, un peu rebelles, d'autres qui préfèrent la couleur de l'argent. .. des négociants d'art peu scrupuleux et d'autres plus jeunes qui galèrent hé oui !
Ken Follett parvient avec brio à parler d'art et nous emporte vraiment avec lui dans ce dédale de ...flou artistique.
Le seul problème c'est qu'il faut vraiment avancer dans le roman pour parvenir à un moment où l'intrigue est véritablement palpitante... outre les "méchants" utiles à un thriller dans le monde de l'art, l'arrivée en Italie par exemple vers la moitié du bouquin est ratée je ne suis pas parvenue à entrer dans ce pays où l'art est si important comme à Paris.
Déçue par Follett encore une fois. C'était pas folle(ichon ).... désolée , allez , je vais admirer mon plafond. :)
