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Je suis partie à Londres.
Pas que j'en avais très envie mais j'avais le paradoxe du bonheur comme passe presque gratuit avec cette jolie bouille d'un renard alors j'ai embarqué. Mais Londres ou la Belgique, y'a comme un air de toujours autant de pluie chez moi.
Poudre de perlimpinpin et je le vois là au Waterloo Bridge le renard et je vois les autres aussi, ceux qui font la part belle à ce paradoxe. Il y a Jean (c'est la femme biologiste qui étudie les renards avec un prénom de mec mais c'est bien une vraie de vraie avec un mari et un enfant) et Attila (lui, c'est l'homme, le médecin spécialisé dans les troubles de stress post traumatique).

Dans ce petit monde sous la pluie londonienne, ça court, ça cherche, ça en veut, c'est très vert écolo aussi, faut protéger les renards. Je l'ai regardé de ma banquise ce petit monde gentillet, j'ai pas toujours réussi à leur parler, c'est comme une vague idée du bonheur mais sous la pluie avec des vents contraires, c'est tout un paradoxe.

Bref, j'ai adoré le billet de mon amie Nadia qui a fait le même voyage que moi mais toi, Nadia, t'as vu des arc en ciel et des pépites, et rien que tes mots ici c'est de l'or en barre sur ma terre mouillée.
Mais il fait quand même beau, il fait beau, il fait beau 🎶 🎶
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Un très beau roman qui fait la part belle à la nature dans un environnement totalement urbanisé, puisque l’histoire se déroule principalement à Londres. Renards, coyotes et loups sont les héros de ce récit atypique. L'écologie est au coeur de ce texte mais l'amour également avec la rencontre inattendue d'Attila, psychologue ghanéen, spécialiste en stress post traumatique, qui intervient dans les conflits du monde entier et Jean, divorcée et mère de famille américaine, chargée d'étudier les renards vivant au coeur de la ville. Un récit dense qui traite aussi bien de la place de la nature dans la cité que de deuil, de résilience et de relations familiales. Un roman à découvrir.
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La voilà la bonne surprise que j'attendais ! Un roman foisonnant, moderne et ambitieux. Dans lequel je me suis immergée sans plus penser à rien d'autre qu'à la compagnie des très beaux personnages que nous offre cette jeune auteure écossaise, nourris sans aucun doute par la fibre cosmopolite que dévoile sa courte biographie. Mère écossaise, père sierra-léonais, une enfance entre Sierra Léone, Thaïlande, Iran et Zambie... une ouverture sur le monde qui irrigue ce texte et l'ancre solidement dans la réalité londonienne.

Tout comme ces renards qui ont envahi les rues de la capitale anglaise, une situation dont de récents reportages n'ont pas manqué de se faire l'écho ces derniers mois. C'est l'un d'entre eux qui figure la première apparition du roman en se faufilant entre les passants du Waterloo Bridge. Et qui va provoquer la rencontre fortuite de nos deux héros aux univers si différents que seul le hasard pouvait se mêler de les mettre en contact. Il s'appelle Attila et il est ghanéen. Psychiatre spécialiste des troubles liés aux syndromes post-traumatiques, il intervient sur les zones de conflit, partout dans le monde. Elle s'appelle Jean, elle est américaine. Scientifique, elle est à Londres pour une mission d'observation des renards et, pour boucler les fins de mois, travaille comme paysagiste auprès de particuliers. Il est au contact des atrocités commises par les humains sur d'autres hommes, elle travaille à défendre et protéger les animaux des velléités de contrôle et de destruction de ces mêmes hommes. Arrivés au mitan de leurs vies respectives, parfois nostalgiques du passé, effrayés par le futur, ils s'attachent à vivre l'instant présent. Une amitié naît et se renforce lorsque le fils de la nièce d'Attila disparait et qu'ils unissent leurs forces pour tenter de le retrouver. Jean active son réseau constitué d'individus chargés de la renseigner sur les renards : un mime de rue, des contractuels, des employés de la ville... tout un petit monde invisible qui patrouille dans les rues de Londres et va s'avérer des plus utile.

Comme je le disais en préambule, la densité de ce roman est remarquable. Grâce au petit monde "souterrain" qui s'anime sous nos yeux, c'est un autre Londres qui nous est donné à voir, multiculturel, vivant, un Londres de l'entraide et de la débrouille sociale. Les backgrounds des deux héros sont impeccablement fouillés grâce à quelques flashbacks qui permettent d'observer Attila lors de ses missions ou Jean lors de son précédent travail, auprès des populations de coyotes aux États-Unis ; de mieux comprendre aussi les douleurs passées, un veuvage pour l'un, un divorce pour l'autre. Autant d'éléments de contexte utilisés pour explorer la question du bonheur et de l'aptitude au bonheur, dans un monde où la violence s'épanouit.

"Chaque fois que vous marchez sur un trottoir bondé, vous croisez des tueurs en puissance. La guerre leur en donne la permission. Nous nous plaisons à croire que les hommes sont communément bons, mais en avons-nous seulement la preuve ? Personne n'est bon par principe ; il y a juste une majorité de gens qui n'ont pas eu l'occasion de se comporter autrement".

Il y a chez Attila et Jean une forme de sagesse liée à l'expérimentation, mais également beaucoup de pudeur et d'empathie dans le regard qu'ils portent sur chaque individu. Il y a chez eux ce conflit permanent entre l'envie de retenter quelque chose, de se laisser aller aux sentiments qui les envahissent et puis la vieille peur de souffrir. Pourtant "qu'est-ce qu'une vie sans incident ? Est-ce même possible ?" demande Attila à juste titre.

Avec ce roman, j'ai retrouvé le même plaisir qu'avec les livres de William Boyd (compatriote de l'auteure avec laquelle il semble partager d'autres influences) qui vous entrainent de façon très immersive dans un univers particulier et offrent un vrai regard sur le monde qui nous entoure. Une lecture dont on ressort un peu plus riche.

Suivez le renard, c'est un vrai régal !
Lien : http://www.motspourmots.fr/2..
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LE PARADOXE DU BONHEUR de Aminatta Forna
Traduit par Claire Desserrey

Éditions Delcourt

********** C O U P d'E C O E U R **********

Voilà un livre pour lequel j'ai eu un énorme coup de coeur, qui est un CHEF-D'OEUVRE et pourtant j'ai beaucoup de difficulté à en parler... Il ouvre tellement de sujets de réflexions que je ne sais pas par quel bout l'empoigner.

Tout d'abord, c'est l'histoire d'une magnifique rencontre amoureuse entre un psychiatre ghanéen (veuf) et une scientifique américaine (divorcée)...

C'est un superbe portrait de Londres...

Ça parle des traumatismes et de leurs conséquences...

... de notre responsabilité envers les malades...

... de la mort...

... de la relation de l'homme avec l'animal et le monde sauvage...

... de la perte de notre animalité...

... de la survie et de l'adaptabilité nécessaire pour y parvenir...

... c'est aussi une réflexion politique sur la fracture entre les somewhere (ceux qui sont de quelque part) et les anywhere (ceux qui ne sont de nulle part). Comment ne pas voir dans ces renard et ces perruches qui "envahissent" Londres une corrélation avec les problèmes d'émigration et la peur de l'autre qu'ils entraînent. Et sur notre façon de traiter l'étranger...

Et au final, le paradoxe du bonheur c'est d'arriver à la résilience malgré les épreuves, aussi douloureuses et diverses qu'elles aient été (décès d'un conjoint, divorce, avoir accompagné un malade d'Alzheimer, traumatisme de guerre, expatriation, ...).

Aminatta Forna est sans aucun doute à l'égale des très grands écrivains grâce à sa subtilité et à son écriture tout en délicatesse.

Je remercie les éditions Delcourt pour cette lecture extrêmement enrichissante.
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Sur un pont de Londres, un renard va, sans le savoir, rapprocher deux destinées: celle d'une américaine,Jean, fraichement divorcée, biologiste chargée d'observer les goupils qui se sont approprié le territoire urbain et celle d'Attila, ghanéen au nom de guerrier, qui intervient certes sur les lieux de conflits partout dans le monde ,mais en tant que spécialiste du stress post traumatique.
Ils sont solitaires, comme tant d'autres autour d'eux qui oeuvrent dans les coulisses de la ville, mais la fugue d'un petit garçon établira des connexions inattendues et multiples entre des personnages riches d'humanité.
Des loups, des coyotes, des renards mais aussi des perruches effrontées traversent ce roman et , pour certains d'entre eux, la ville de Londres, nous rappelant qu'il nous faut composer avec la nature et non tenter inutilement de la détruire faute de pouvoir la dominer.
Quant aux personnages, on s'attache très vite à eux et des retours en arrière, nous permettent de mieux les comprendre,avec pudeur et émotion. La résilience est au coeur de ce roman, sans pour autant céder à la tentation des bons sentiments, et l'écriture, riche de métaphores et de réflexions pertinentes, nous offre ici un peu bonheur de lecture.
On apprend plein d'informations mine de rien dans des domaines très divers et l'on se sent plus riche d'humanité en refermant ce livre que j'ai trimballé partout le temps de sa lecture, ce qui est un excellent signe !

Et zou un roman qui fait du bien sur l'étagère des indispensables !
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J'ai reçu ce livre dans le cadre de l'opération "Masse critique Littérature" organisée par Babelio.

Merci à Babelio et aux éditions "Delcourt".Jean est une biologiste Américaine. Elle vit à Londres et réalise des études sur les animaux sauvages en milieu urbain : loups, coyotes, renards, tout en concevant des jardins sauvages sur les toits. Elle est divorcée et mère d'un fils, Luke, avec qui la communication est difficile.

Attila est un psychiatre Ghanéen, spécialiste des troubles liés aux syndromes post-traumatiques. Il intervient partout dans le monde, sur les zones de conflit.

Les personnages secondaires sont aussi parfaitement décrits. Pour la plupart ce sont des étrangers, travailleurs de l'ombre : portiers, gardiens, plongeurs, mime, dans des parkings, des hôtels, des théâtres, constituant un incroyable réseau d'entraide et d'humanité. Mais il y a aussi Tano, petit-neveu d'Attila, enfant rêveur qui va fuguer pour échapper aux services sociaux et Emmanuel, soigneur dans une maison de retraite qui offre du soleil et de la chaleur à des personnes âgées en fauteuil roulant.

Les thèmes abordés sont nombreux : les conflits dans le monde, les traumatismes, les émotions, la maladie d'Alzheimer, l'accompagnement des mourants, les dénonciations, la cohabitation entre les hommes, les animaux sauvages et la nature.

Pour Jean et Attila, mais aussi pour Tano, Luke le bonheur est là où on ne l'attend pas...

Attila est une belle personne, toujours prêt à aider, accompagner. Son attitude envers Rosie, son ancienne amie, atteinte de la maladie cd'Alzheimer, m'a bouleversée.

J'ai apprécié de plus en plus, au fil des pages, Jean passionnée par les coyotes, les loups et les renards mais aussi les fleurs et les arbres.

Ce roman nous ouvre les yeux et nous invite à apprécier tous les petits bonheurs de la vie, à faire preuve de compassion, de tolérance envers les autres humains et les animaux, à regarder autrement ceux que nous croisons et à nous émerveiller devant la Nature .

Il m'a aussi envie de découvrir Londres...

Lien : http://www.unebonnenouvellep..
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Un homme et une femme se bousculent sur le Waterloo Bridge, un soir d'automne à Londres, puis reprennent chacun leur chemin.

Une spécialiste de la vie sauvage en milieu urbain a quitté l'Amérique et ses coyotes  pour étudier les renards et les perruches londoniens.

Un psychiatre éminent africain, spécialiste de l'étude des victimes de stress post traumatique est à Londres pour un colloque. Il en profite pour revoir une ancienne collègue-amie-compagne atteinte d'Alzheimer précoce, dont il cherche où et comment faciliter l'accompagnement.

Un jeune garçon erre dans la ville après l'expulsion de sa mère de leur appartement, alors que sa mère se morfond à l'hôpital.

Un réseau informel de personnel de nettoyage des rues, portiers d'hôtels, agents de sécurité enregistre les mouvements des renards et se mobilise pour retrouver le gamin.

Autant de fils épars qui se rejoignent et tressent une belle histoire d'amour et d'amitié qui montre que les coïncidences ne sont que des signes du destin, que tout vient à point et que l'ouverture d'esprit vaut mieux que toutes les croyances.

Un roman choisi parce que l'auteur me permettait d'avancer dans mon tour du monde, et qui m'a étonnée et par sa justesse de ton par la sympathie des personnages et la tendresse latente dans tout le récit.

Une auteur que j'ai donc découverte par hasard, et dont je vais rechercher les autres productions.

Une très belle découverte, dont je préfère le titre en VO : Happiness !  
Lien : http://les-lectures-de-bill-..
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je suis un peu ennuyée pour émettre mon opinion sur ce livre.
par moment j'ai été emballée par d'autres nettement moins.
cela n engage que moi mais j ai trouvé que l 'histoire traîne un peu et les retours en arrière dans le temps sont un peu pertubants.
je n ai pas réussi à m'attatcher aux personnages qui pourtant font face aux difficultés e la vie
l'histoire reste pourtant intéressante.Beaucoup de sujets sont évoqués la préservation des animaux(renards oiseaux) l'émigration , le racisme , la différence entre riches et pauvres , l'urbanisation etc

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De quoi ça parle ?

Tout débute à Londres, un soir de février. Attila est ghanéen et travaille dans la psychiatrie. Il a récemment perdu sa femme, Maryse et il est ici afin de participer à une conférence. Mais pour l’instant rien ne presse. Attila décide donc de faire une ballade en ville.

Jean est américaine et biologiste. Elle est divorcée depuis peu et a un fils, Luke. Elle est venue s’installer à Londres afin d’étudier le comportement des renards en milieu urbain. Ce soir, elle a remarqué un nouveau quadrupède et elle s’est mise à le poursuivre à travers les rues de Londres.

Attila s’arrête au milieu d’un pont afin d’observer la vue du palais de Westminster. Le renard traverse le pont et Jean s’élance à sa poursuite. Attila n’est qu’à deux ou trois mètres d’elle.

Jean ne voit pas le grand homme qui lui fait face…

Collision.

Attila l’aide à se relever. Elle le remercie et s’en va. L’histoire aurait put s’arrêter là, mais le destin en décide autrement et des rencontres aussi inexplicables que banales se succèdent entre les deux personnages.

Puis un évènement vient encore les rapprocher : la disparition du neveu d’Attila. Une petite troupe se mobilise, constituée de personnes venant de mondes totalement opposés, pour retrouver le petit garçon.

Jean et Attila, que rien ne liait et venant de monde totalement séparés, se retrouvent sous l’emprise de liens puissants. Est-ce dû au hasard, à la chance ? Ou tout simplement au destin ?

Mon avis :

Le résumé de l’histoire m’avait tout d’abord paru plutôt flou. Mais bien vite j’ai été accrochée par l’intrigue. Habituée à lire plutôt des livres pour adolescents, ce roman a été une première pour moi et franchement je n’ai pas été déçue ! Les personnages sont intéressants et l’intrigue est fluide, posant des questions sur la cohabitation entre les humains et la nature ainsi que sur les liens entre les différentes classes sociales et la liberté humaine, sans que les émotions soient en reste.

Le seul petit bémol, de mon point de vue, ce sont les réflexions psychologiques sur les traumatismes et le stress. Tout ceci est très riche en informations, mais interrompt l’intrigue et le flux des émotions qu’elle suscite.

Cela étant, ce reproche est mineur et la lecture du Paradoxe du bonheur a été aussi riche qu’agréable et m’a donné envie de lire aussi bien d’autres romans de cet auteur que d’autres livres de ce genre. Cette découverte a été un vrai succès.

PS : pour celles et ceux qui voudraient passer de la littérature pour jeunes adultes à la littérature tout court, ce livre est une merveilleuse solution.

Texte reçu dans le cadre de la Masse critique Babelio. Merci aux éditions Delcourt.

https://lirelandoulerevedunemontmartroise.wordpress.com/2019/10/28/le-paradoxe-du-bonheur-de-aminatta-forna/
Lien : https://lirelandoulerevedune..
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Un soir de février 2014 à Londres, un renard traverse un pont et une femme percute un passant. le hasard. Les rencontres se jouent parfois à un dixième de seconde. Surtout lorsqu'elles sont percutantes. En avril 1834, le dernier loup a été abattu dans le Massachusetts. Un lien entre ces deux événements ? Oui, il y en a un… il passe par des coyotes…

Des renards, des coyotes, des animaux que certains voudraient qualifier de nuisibles, comme ces hommes de l'ombre, ces invisibles qui balaient les rues, ces exilés, qui sont capables de s'unir, de s'entraider pour chercher un enfant disparu. Un roman sur ces rencontres improbables, un roman qui donne la part belle aux altruistes.

J'ai été particulièrement émue par le personnage de Rosie, atteinte de la maladie d'Alzheimer, qui reconnait la bonté des être humains sans se souvenir de leur visage ou de leur nom.

J'ai été très intéressée par les développements sur la psychiatrie, j'aurais volontiers recopié des passages entiers sur ce qu'on nomme expériences traumatisantes et sur les erreurs d'interprétation des signes extérieurs de déséquilibre mental, sur la notion de résilience (l'auteure s'est inspirée du livre de Boris Cyrulnik). Ceux qui ont le plus souffert ou qui ont subi le plus de traumatismes ne sont pas les moins aptes au bonheur…

Je me suis attachée aux renards et même aux coyotes, et ce n'était pas gagné… en ce moment ils déciment ma population de gallinacées (les renards, pas les coyotes). Les descriptions de leur mode de vie et les réflexions de Jean, la scientifique américaine sont très convaincantes.

Les incursions de moments du passé des deux personnages principaux nous permettent de mieux les connaître, en profondeur.

J'ai apprécié ce roman, riche, foisonnant, passionnant, mais il manque, à mon sens, du liant (cette alchimie qui permet de tisser une relation entre tous les chapitres sans forcément que cela soit explicite). J'ai trouvé ça, parfois, un poil trop décousu. Pendant la première moitié du roman, je ne comprenais pas où voulait en venir l'auteure et j'avais l'impression que ça partait dans tous les sens.

Mais globalement, c'est un très bon roman.
Lien : https://krolfranca.wordpress..
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